Un jour, j'ai lu un vieux dicton qui affirme que le sage ne se lamente pas sur ce qu'il n'a pas, mais rend grâce au ciel pour ce qu'il a. (p 14)
J'avais donné à Bob une compagnie, de la nourriture et un endroit chaud où dormir. En échange, il m'avait apporté l'espoir et un but dans l'existence.
Il avait enrichi ma vie, la gratifiant de sa fidélité, de son amour et de son humeur. Avec lui, j'avais appris à me montrer responsable comme jamais auparavant. Il m'avait aidé à me fixer de nouveaux objectifs et à voir le monde plus clairement que je ne m'en serais cru capable. (p 15-16)
Si l'on pouvait croiser l'homme et le chat, ça améliorerait l'homme, mais ça dégraderait le chat.
Quelque chose dans la présence d'un chat...
soulage du sentiment de solitude.
Les chats sont des être mystérieux. Nous ne sommes pas conscients de ce qui leur traverse l'esprit. Sir Walter Scott