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Critique de emelivres
Je me suis lancée dans ce roman car j'avais énormément aimé le très connu livre "le garçon en pyjama rayé" du même auteur.
Ici, l'histoire se déroule lors de la 1ère guerre mondiale en Angleterre. Alfie, 5 ans, voit son père s'enrôler dans l'armée. Après plusieurs année à recevoir de ses nouvelles par correspondances écrites, c'est silence radio. La mère d'Alfie lui répète que c'est parce que son père est en mission secrète pour le gouvernement, mais le petit garçon est persuadé qu'elle ment et qu'elle veut lui cacher la mort de son père.
C'est une courte histoire qui nous place du côté des laissés de côté de la guerre. Ces familles qui attendent inlassablement la fin de cette guerre, pour voir revenir leurs hommes partis se battre.
L'histoire est racontée du point de vue d'un petit garçon. Certes très jeune, mais d'une intelligence et d'une maturité assez impressionnantes. Il a conscience d'être l'homme de la maison depuis la départ de son père, il a conscience que sa mère se tue à la tâche pour essayer de subvenir à leurs besoins en cumulant trois boulots. Alfie décide d'aider à sa manière en allant cirer les chaussures des gens à la gare, ce qui lui permet en plus de découvrir de nouvelles informations sur son père.
J'ai trouvé cette histoire plutôt touchante, avec un petit garçon vif et courageux. On ne parle pas tant de la guerre ici, à part pour le départ des soldats, mais plutôt de la vie de ceux restés dans les villes. J'ai trouvé dommage que ce soit aussi peu approfondis, j'aurais aimé en savoir plus sur la vie de ces familles, l'école, le travail, les doutes et la souffrance d'être sans nouvelles. Mais le roman reste jeunesse, donc assez court et il tourne autour d'Alfie et de sa "mission secrète" pour découvrir si son père est encore en vie, et où.
Ici, l'histoire se déroule lors de la 1ère guerre mondiale en Angleterre. Alfie, 5 ans, voit son père s'enrôler dans l'armée. Après plusieurs année à recevoir de ses nouvelles par correspondances écrites, c'est silence radio. La mère d'Alfie lui répète que c'est parce que son père est en mission secrète pour le gouvernement, mais le petit garçon est persuadé qu'elle ment et qu'elle veut lui cacher la mort de son père.
C'est une courte histoire qui nous place du côté des laissés de côté de la guerre. Ces familles qui attendent inlassablement la fin de cette guerre, pour voir revenir leurs hommes partis se battre.
L'histoire est racontée du point de vue d'un petit garçon. Certes très jeune, mais d'une intelligence et d'une maturité assez impressionnantes. Il a conscience d'être l'homme de la maison depuis la départ de son père, il a conscience que sa mère se tue à la tâche pour essayer de subvenir à leurs besoins en cumulant trois boulots. Alfie décide d'aider à sa manière en allant cirer les chaussures des gens à la gare, ce qui lui permet en plus de découvrir de nouvelles informations sur son père.
J'ai trouvé cette histoire plutôt touchante, avec un petit garçon vif et courageux. On ne parle pas tant de la guerre ici, à part pour le départ des soldats, mais plutôt de la vie de ceux restés dans les villes. J'ai trouvé dommage que ce soit aussi peu approfondis, j'aurais aimé en savoir plus sur la vie de ces familles, l'école, le travail, les doutes et la souffrance d'être sans nouvelles. Mais le roman reste jeunesse, donc assez court et il tourne autour d'Alfie et de sa "mission secrète" pour découvrir si son père est encore en vie, et où.
