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Critique de Analire
Un livre fantastique pour la jeunesse en quête d'évasion, bordé par le sentiment amoureux d'adolescents extraordinaires, de course poursuite contre la montre, en vu de déjouer les plans du futurs.
Si vous connaissez les précédents ouvrages d'Ann Brashares, prenez le temps de lire le résumé de celui-ci avant de vous jeter à corps perdu dans sa lecture. le style d'écriture est quasiment identique, mais le cadre spatio-temporel ne ressemble en rien aux histoires girly écrites dans le passé. le seul point commun, l'une des trames centrales du livre, renvoie à l'amour d'adolescents, pur, naïf et passionnel.
Un amour inconditionnel, particulier, singulier et émouvant. Traversant le temps, déjouant les Règles prescrites par le haut commandement venant du futur, plus particulièrement la douzième et dernière règle stipulant de ne "jamais, quelles que soient les circonstances, développer une relation intime, physique ou émotionnelle, avec un individu n'appartenant pas à la communauté", Prenna James et Ethan Jarves vont tomber amoureux, même si plus d'une 60aines d'années sépare leurs mondes. Qu'il est touchant de découvrir des âmes pures, vierges de tout sentiment, se retrouver plonger dans l'amour-passion, fort, dévastateur et interdit, comme présenté dans les plus grands chefs d'oeuvres de la littérature classique (je pense notamment à Jane Eyre de Charlotte Brontë, similaire dans l'interdiction sociale d'amour, et dans la différence de génération des protagonistes).
Les voyages dans le temps, la rencontre avec les technologies futuristes ou les retours dans le passé, m'ont vaguement fait penser au superbe roman de Eoin Colfer, WARP, avec ses allers et retours entre le monde modernes et le monde futur. Ici, le futur est vu à travers une lunette dystopique, noire et meurtrière, où les moustiques, si petits soient-ils, peuvent détruire les plus grands hommes. C'est la principale cause pour laquelle le voyage dans le temps a été organisé ; pour sauver l'humanité et préserver la race humaine en détournant les événements producteurs d'horreurs.
L'auteure a quand même été assez évasive concernant son intrigue première. Sans doute peu habituée aux courses poursuites et autres actions farfelues, elle a plus étoffé l'histoire d'amour des deux protagonistes, au détriment de la compréhension globale du lecteur.
Un livre qui ne m'a pas transcendé, mais dont j'ai apprécié la découverte. Une écriture fluide et soignée, à la portée de tous, mais plus particulièrement des adolescents dans la force de l'âge. Un voyage dépaysant aux côtés de personnages attachants, englobé dans une intrigue originale. Un oeil visionnaire, moderne et dynamique sur le monde des apparences et l'identité humaine, sans fioritures et intelligent.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
Si vous connaissez les précédents ouvrages d'Ann Brashares, prenez le temps de lire le résumé de celui-ci avant de vous jeter à corps perdu dans sa lecture. le style d'écriture est quasiment identique, mais le cadre spatio-temporel ne ressemble en rien aux histoires girly écrites dans le passé. le seul point commun, l'une des trames centrales du livre, renvoie à l'amour d'adolescents, pur, naïf et passionnel.
Un amour inconditionnel, particulier, singulier et émouvant. Traversant le temps, déjouant les Règles prescrites par le haut commandement venant du futur, plus particulièrement la douzième et dernière règle stipulant de ne "jamais, quelles que soient les circonstances, développer une relation intime, physique ou émotionnelle, avec un individu n'appartenant pas à la communauté", Prenna James et Ethan Jarves vont tomber amoureux, même si plus d'une 60aines d'années sépare leurs mondes. Qu'il est touchant de découvrir des âmes pures, vierges de tout sentiment, se retrouver plonger dans l'amour-passion, fort, dévastateur et interdit, comme présenté dans les plus grands chefs d'oeuvres de la littérature classique (je pense notamment à Jane Eyre de Charlotte Brontë, similaire dans l'interdiction sociale d'amour, et dans la différence de génération des protagonistes).
Les voyages dans le temps, la rencontre avec les technologies futuristes ou les retours dans le passé, m'ont vaguement fait penser au superbe roman de Eoin Colfer, WARP, avec ses allers et retours entre le monde modernes et le monde futur. Ici, le futur est vu à travers une lunette dystopique, noire et meurtrière, où les moustiques, si petits soient-ils, peuvent détruire les plus grands hommes. C'est la principale cause pour laquelle le voyage dans le temps a été organisé ; pour sauver l'humanité et préserver la race humaine en détournant les événements producteurs d'horreurs.
L'auteure a quand même été assez évasive concernant son intrigue première. Sans doute peu habituée aux courses poursuites et autres actions farfelues, elle a plus étoffé l'histoire d'amour des deux protagonistes, au détriment de la compréhension globale du lecteur.
Un livre qui ne m'a pas transcendé, mais dont j'ai apprécié la découverte. Une écriture fluide et soignée, à la portée de tous, mais plus particulièrement des adolescents dans la force de l'âge. Un voyage dépaysant aux côtés de personnages attachants, englobé dans une intrigue originale. Un oeil visionnaire, moderne et dynamique sur le monde des apparences et l'identité humaine, sans fioritures et intelligent.
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