>
Critique de Nanou3250
Premier ouvrage d'Adèle Bréau que je lis, je devrais d'ailleurs commencer par "la cour des grandes" mais je ne l'ai pas trouvé à la bibliothèque ... mais, bon, des critiques sur Babeio disent que l'on peut d'emblée lire le second, alors j'y vais .....
Style alerte, écriture très agréable, je me laisse emporter très vite.
Au départ, un peu de mal à m'y retrouver, qui est avec qui ? qui a quitté qui ? qui va rencontrer qui ? et puis, tout se met en place et je m'attache à tous ces personnages. Devant mes yeux et dans ma tête tout ce petit monde prend corps, prend vie, Adèle Bréau rend tous ses personnages totalement présents. C'est une palette très complète de situations crédibles et bien ancrées dans la période contemporaine . L'auteure balaye toutes les facettes de ce qui fait la vie de ces quadras d'aujourd'hui : le stress du travail, la difficulté de concilier la carrière professionnelle et la vie familiale, la remise en question de ses choix de vie, les rencontres qui bousculent, le temps qui passe .....
Finalement tout cela n'est pas l'apanage de cette génération post-soixante huitarde, moi qui suis de la génération précédente, celle de leurs parents, j'ai eu et j'ai encore les mêmes questionnements ....
Oui, Adèle Bréau a su saisir le fond des choses et en particulier cette difficulté (encore et toujours) de compréhension, d'harmonisation entre les comportements, les ressentis, les émotions, les sentiments... masculins et féminins. Dans ce roman l'accent est porté sur les hommes dont l'auteure sait à merveille nous restituer l'ambiguité, la complexité, ne cachant rien de ce qui les rend parfois "insupportables", n'excusant pas leur côté infantile, égoïste..... mais sachant aussi parler avec tendresse et délicatesse de leurs failles, de leur fragilité, bref de tout ce qui fait qu'au-delà de leurs différences, ces deux moitiés de l'humanité se chercheront et se complèteront toujours.
J'ai failli être rebutée pas la couverture du livre qui ne m'attirait pas du tout.... heureusement que je ne me suis pas arrêtée à ce détail, je me serais privée d'un grand plaisir.
Très envie de lire maintenant "la cour des grandes", voir l'autre côté des choses, le côté féminin .... Mais très impatiente de lire aussi "les devoirs de vacances", et avoir la réponse à cette question soulevée par la dernière phrase du livre .... "il est mort" ..... qui ?????
Style alerte, écriture très agréable, je me laisse emporter très vite.
Au départ, un peu de mal à m'y retrouver, qui est avec qui ? qui a quitté qui ? qui va rencontrer qui ? et puis, tout se met en place et je m'attache à tous ces personnages. Devant mes yeux et dans ma tête tout ce petit monde prend corps, prend vie, Adèle Bréau rend tous ses personnages totalement présents. C'est une palette très complète de situations crédibles et bien ancrées dans la période contemporaine . L'auteure balaye toutes les facettes de ce qui fait la vie de ces quadras d'aujourd'hui : le stress du travail, la difficulté de concilier la carrière professionnelle et la vie familiale, la remise en question de ses choix de vie, les rencontres qui bousculent, le temps qui passe .....
Finalement tout cela n'est pas l'apanage de cette génération post-soixante huitarde, moi qui suis de la génération précédente, celle de leurs parents, j'ai eu et j'ai encore les mêmes questionnements ....
Oui, Adèle Bréau a su saisir le fond des choses et en particulier cette difficulté (encore et toujours) de compréhension, d'harmonisation entre les comportements, les ressentis, les émotions, les sentiments... masculins et féminins. Dans ce roman l'accent est porté sur les hommes dont l'auteure sait à merveille nous restituer l'ambiguité, la complexité, ne cachant rien de ce qui les rend parfois "insupportables", n'excusant pas leur côté infantile, égoïste..... mais sachant aussi parler avec tendresse et délicatesse de leurs failles, de leur fragilité, bref de tout ce qui fait qu'au-delà de leurs différences, ces deux moitiés de l'humanité se chercheront et se complèteront toujours.
J'ai failli être rebutée pas la couverture du livre qui ne m'attirait pas du tout.... heureusement que je ne me suis pas arrêtée à ce détail, je me serais privée d'un grand plaisir.
Très envie de lire maintenant "la cour des grandes", voir l'autre côté des choses, le côté féminin .... Mais très impatiente de lire aussi "les devoirs de vacances", et avoir la réponse à cette question soulevée par la dernière phrase du livre .... "il est mort" ..... qui ?????
