Je découvre
Alberto Breccia tardivement mais je reconnais un grand artiste qui use de plusieurs techniques toujours en noir et blanc pour illustrer des nouvelles et romans de
Lovecraft. Il retranscrit bien l'atmosphère pesante et cauchemardesque de ces histoires. En relisant ces textes, j'ai pu remarquer la récurrence de l'homme seul qui vient à un rendez vous ou fait une découverte, le récit se terminant souvent par un évanouissement ou une métamorphose. Quel univers ! Et c'est bien avant Gou Watanabe que
Breccia eut l'idée de retranscrire l'horreur du mythe de Chtulhu à coup de pinceaux et d'encre sombre.
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