Comparé au premier tome, j'ai trouvé l'intrigue de tome-ci plus classique car Mirei a retrouvé son unité et doit faire face aux sorcières qui n'acceptent pas le changement qu'elle porte en elle.
Par contre, le rythme de ce roman-ci est plus soutenu que l'autre.
La narration se porte sur Mirei mais également sur Satomi, la Prime du Néant qui tente de conserver la cohésion de la Chute de l'Etoile, le lieu d'origine des sorcières.
Traîtrise, meurtres, actions d'éclat, le classique des romans médiéval fantastique.
Cela se lit même s'il n'y a rien de très original, ni de marquant.
En fait, ce que j'ai particulièrement aimé c'est ce monde de sorcières uniquement féminin adorant une Déesse sous ses différents aspects et n'ayant que des filles.
Bref, un diptyque qui se lit agréablement. mais non inoubliable.
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Je suis partagée. Je m'attendais à ce que l'on conserve le rythme de la fin du tome précédent. Pas du tout. J'ai eu l'impression de reprendre à zéro. Un rythme lent pour progressivement nous donner les informations e évènements à partir de la moitié. Dommage. L'idée est bonne mais par rapport au résumé, j'en attendais autre chose.
Autre petite déception : des questions restent en suspens notamment concernant les garçons nés de sorcière. Qu'en est-il? Mystère.
En bref, une saga prometteuse qui m'a un peu déçu. Cela reste agréable mais sans plus.
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