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Critique de finitysend


Commenté en France le 14 février 2011 sur une mauvaise référence.

Le premier roman du cycle de l'élévation.
Ce roman est le fruit du travail d'un astrophysicien qui venait de se mettre à écrire de la SF ...
Les romans suivants de ce cycle sont bien meilleurs avec deux prix Hugo d'ailleurs .
Le style de l'auteur culmine selon moi dans , Marée stellaire , et dans , La jeune fille et les clones , ...
A bien y réfléchir ce roman n'a pas de défauts majeurs , à par le fait que le style n'est pas toujours à la hauteur . Je pense notamment au bâti et au rendu du personnage principal .
Sinon le lecteur bénéficie d'un contexte de hard science qui confine à la perfection avec des descriptions somptueuses , des technologies amenées de façons ultra digeste .
J'ai eu du mal à digérer un petit côté Agatha Christie ( très circonscrit ) et à bien y réfléchir cela plaira éventuellement à d'autres ..
David Brin n'est pas francophobe ( comme ce texte pourrait le laisser croire ) . J'ai rarement vu un auteur américain émailler toute sa production d'autant de citations françaises .
Le personnage très " franchouillard " du roman joue un rôle avec le but de mystifier les tenants de certains intérêts contrariants de cet univers.
La couverture tient ses promesses et la ballade est aussi somptueuse que cette superbe couverture l'annonce ( édition Folio SF) .
Un texte assez réussi donc , avec quelques défauts d'une oeuvre de » jeunesse » .
C'est incontestablement une somptueuse ballade " au coeur du soleil " et aussi celle une planète terre en bien triste état si on y réfléchie bien (socialement et politiquement parlant) .
Le contexte terrestre du cycle est très bien posé par ailleurs .
L'univers est un endroit dangereux mais il y a de l'espoir à condition de comprendre quelque chose aux subtilités des alliances et des retournements politiques et à condition de percevoir ses complexes règles de fonctionnement et l'épaisse jurisprudence secrétée par son immense appareil décisionnaire.
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