La Fête des ombres, tome 1

Dites-moi Naoko, vous aimez les kakis?
Dites-moi amis(es) Babeliotes, vous aimez les ombres?
Si c'est le cas, vous devez lire et admirer les planches de cet album de l'Atelier Sentō, La fête des ombres. Ce premier tome est une mise en bouche de la rencontre entre les ombres et les vivants.
Les auteurs, un duo formé de Cécile Brun et Olivier Pichard , nous amènent dans un village isolé qui perpétue une tradition de cohabitation des âmes errantes avec des humains jusqu'aux célébrations de la fête des ombres. le but étant d'identifier les ombres pour qu'elles puissent partir en paix, la plupart ayant tout perdu, incluant leurs souvenirs et leur identité.
Naoko est une jeune adulte ayant la capacité et la sensibilité d'une accompagnatrice. Elle se lie à l'ombre d'une curieux garçon et tisse une belle complicité avec lui.
Les couleurs et dessins de cet album graphique sont magnifiques. le Japon est reproduit dans toute sa splendeur sur deux saisons, l'automne et l'hiver. Vivement le tome 2 pour le printemps et l'été, enfin j'imagine!!

Aujourd'hui, c'est ma lecture du premier tome de « La fête des ombres », tout beau tout frais de l'Atelier Sento chez les Éditions Issekinicho, qui m'inspire cette première critique de BD.

L'histoire nous emmène à la rencontre de Naoko, une jeune femme qui vit dans un petit village isolé du Japon où, tous les ans, on célèbre la fête des ombres. Au cours de cette fête, les habitants accueillent les ombres, les âmes de personnes décédées qui ne sont pas tout à fait passées de la vie à trépas et qui errent, dépossédées de leurs souvenirs. Naoko est chargée de guider l'une de ces ombres, un homme au passé très mystérieux. Elle dispose d'un an pour l'aider et si elle n'y parvient pas, l'ombre sera perdue à jamais...

Dès les premières pages, on est plongés dans cette atmosphère particulière teintée d'onirisme, au coeur de la nature, dans ce Japon reculé où la frontière qui sépare le monde des vivants et celui des esprits est particulièrement floue. Les dessins retransmettent à merveille cette ambiance et on ne peut que s'attacher aux personnages. On se sent comme dans un rêve éveillé, et la fin m'a autant surprise qu'elle m'a tirée du rêve. Un véritable moment de poésie et de contemplation au rythme des saisons.

Si vous aimez le Japon et que vous avez envie de le découvrir d'une autre façon, si vous avez besoin d'un instant de beauté au milieu d'une grise journée, si vous aimez les histoires de fantômes, ou simplement si vous êtes curieux(se), n'hésitez pas à le lire, vous ne serez pas déçu(e)! Quant à moi, je guette l'arrivée du tome 2.
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L'Atelier Sentô est composé de Cécile Brun et Olivier Pichard, véritables amoureux du Japon et créateurs en tout genre (BD, jeux vidéos, etc…). Je les ai découvert grâce à leur BD Onibi ( une petite merveille que je recommande chaudement) et il était impensable que je passe à côté de leur dernière oeuvre.

Dès les premières pages, je me retrouve plongée dans le Japon que j'avais déjà adoré dans Onibi, à travers ce petit village coupé du monde, proche de la nature et des esprits. Les dessins sont magnifiques et l'histoire prend son temps, rythmée par les saisons et le quotidien tranquille de Naoko.

Cette dernière a un an pour trouver l'identité de son ombre et se prouver à elle-même que c'est un rôle qu'elle peut assumer. C'est un personnage très attachant dans tout ces petits travers, comme tous les autres habitants, vieillissant, de ce petit village très particulier.

C'est au final une merveilleuse lecture pleine de poésie et de contemplation que je recommande à tous les amoureux du Japon et des histoires de fantômes. Il me tarde de lire la fin dans le prochain tome, à paraître en Octobre.
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Ce roman raconte l'histoire d'une jeune fille dont le prénom est Naoko. Celle ci vit seule dans une maison dans un village au Japon. Dans cette agglomération, la fête des morts revient chaque années. Naoko aura pour mission de guider l'âme d'un homme (fantôme), hantée par un terrible secret. Elle doit à tout pris y arriver...

C'est un roman du genre fantastique

J'ai bien aimé l'endroit ou se déroule l'histoire et le suspense de la fin car les détails sont bien présents, on ne sait pas si le fantôme va mourir ou disparaître.. J'ai aimé la réflexion intelligente et sensible sur le deuil, les souvenirs. Les illustrations sont douces et subtiles, qui emmène le lecteur au Japon (culture traditionnelle)

Ce que j'ai peut être le moins aimé est le fait qu'il faut comprendre l'intrigue qui est présente car il faut entrer dans le texte qui est parfois difficile à assimiler.

Je conseillerai ce livre au moins de 13 ans car cela est facile et compréhensible, après cet age c'est trop "petit".

Sixtine

Cette bd raconte l'histoire d'une jeune femme qui vit dans un village japonais. Cette jeune femme qui s'appelle Naoko a pour but d'aider des ombres (c'est-à-dire des défunts qui n'arrivent pas à partir dans l'au-delà), donc elle se lie avec des gens du village pour leur venir en aide.
Elle est chargée de s'occuper d'une ombre en particulier sauf qu'elle commence à tomber amoureuse de cette ombre, ce qui risque de poser problème.
Ce livre est très intrigant, j'ai beaucoup aimé le lire. Il m'a énormément plu ! Ce qui ne m'a pas tellement plu, c'est le rapprochement qu'il y a eu entre Naoko et le fantôme…
Si vous aimez les histoires d'intrigues et d'amour tragique je vous conseille vivement de lire ce livre.

Zaza83

La fête des ombres est une bande déssinée qui a été réalisée par une équipe ,un duo formé par Cécile Brun et Olivier Pichard.
Ils s' inspirent de leurs voyages au Japon pour faire découvrir un Japon inhabituel et ses légendes.
Cette BD présente un récit merveilleux où certains villageois cohabitent avec des ombres mystérieuses.
Le récit reste assez flou car on ne comprend pas vraiment comment aider les ombres et pourquoi.
La jeune Naoko ,aidée par Katsu,doit découvrir l 'identité de l'ombre qu'elle a prise en charge.
A la fin du tome 1 ,un élément inattendu nous invite à lire le tome2.
C'est une histoire assez compliquée à comprendre car on ne comprend pas pourquoi les villageois aident les ombres.
Par contre les dessins sont dans le style manga qui est à la fois simple et très détaillé.
On nous présente aussi la vie quotidienne au Japon en automne et en hiver.
Même si le tome 1 est difficile à comprendre ,à la fin , un évènement inattendu relance l'action et donne envie de connaître la suite de l'histoire.
Je vous encourage à lire cette BD et à bien regarder tous les dessins.

Il y a déjà quelques temps j'ai découvert la beauté de la BD "La fête des ombres", une jolie histoire qui traite de la culture japonaise et de la transition des esprits du monde des vivants vers le monde des morts.

Au fil d'illustrations magnifiques, nous allons rencontrer puis accompagner Naoko, jeune guide, dans sa mission de vie. Celle de permettre aux ombres errantes de passer vers le royaume des morts. Elle dispose d'une année pour retrouver l'identité de l'ombre et lui permettre ainsi de rejoindre le royaume des morts. Mais cette recherche n'est pas toujours simple... et si elle n'est pas menée à terme à la fin de l'année l'esprit sera condamné à errer entre les deux mondes pour toujours.

Si cette BD peut paraître un peu triste de prime abord, elle se révèle finalement une bien jolie histoire sur la culture japonaise, un japon inhabituel, entre villages perdus et esprits oubliés.

Un joli suspens clôt ce premier tome. Je n'ai qu'une hâte, découvrir le second tome et savoir ce que va devenir la jeune Naoko ainsi que l'ombre dont elle tente de percer le secret.

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J'étais vraiment intrigué par cette bande dessiné parce que les seuls avais que j'avais entendu étaient tellement bons à son sujet, que j'avais très envie de la découvrir mais aussi peur de cette histoire et de voir si cela allait me plaire… Nous sommes ici sur une histoire très originale je trouve et qui m'a un peu déstabilisée

En fin de compte, je ressort de cette bande dessinée très ravi parce que j'ai énormément apprécier cette histoire ! Nous sommes complétement immergé dans cette histoire avec ce cadre, on nous emmène au Japon à travers ces légendes ! C'est une belle histoire rempli de poésie et d'émotion que je suis content donc d'avoir enfin découvert et lu.

Concernant les dessins, je n'étais pas très emballés par ces derniers au début. Mais je dois avouer, qu'ils se mêlent très bien à l'ouvrage et qu'ils dégageaient beaucoup de choses à travers ces couleurs bleus. Je les ai donc beaucoup apprécier à la finale.

Un deuxième tome est sortit pour cet ouvrage, je serai curieux d'aller le lire et de voir si ce deuxième tome va me plaire tout autant que le premier mais en toute honnête, je n'en doute pas une seule seconde. En bref, une bande dessinée à vraiment découvrir et à lire !

Entre esprits égarés, folklore populaire et traditions du Japon, la Fête des Ombres est une touchante histoire en deux tomes, créée par l'Atelier Sentô et publiée par les éditions Issekinicho.

Il existe au Japon un petit village isolé où chaque été on célèbre la Fête des Ombres, un festival qui voit apparaître les spectres des défunts, lesquels, privé de mémoire, errent sous la forme d'ombres sans visage. Les villageois les accueillent et les guident, à la recherche de leurs souvenirs perdus et de leur identité, afin de les aider à trouver la paix.

C'est ainsi que la jeune Naoko se retrouve en charge d'une ombre qu'elle peine à cerner. Un jeune homme au passé mystérieux, auquel elle s'attache tous les jours un peu plus. Au fil des saisons, leur histoire se déroule lentement, tandis que les secrets de cette ombre se révèlent petit à petit. Naoko, de son coté, va devoir choisir quelle direction elle souhaite donner à sa vie. Prendre un nouveau départ loin de son village ou au contraire plonger toujours plus profondément dans le monde des Ombres.

Plein de délicatesse, ce roman graphique enraciné dans le folklore japonais est à la fois un récit initiatique, l'histoire d'un amour impossible et une enquête captivante à la recherche de souvenirs perdus. Les personnages sont touchants et on s'attache facilement à Naoko, à ses hésitations, à son courage aussi. le style graphique ne plaira peut-être pas à tout le monde, mais les aquarelles ajoutent beaucoup de poésie au récit et le soin apporté aux détails est très plaisant.

Un joli voyage doux-amer, qu'il faut prendre le temps de déguster.

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(LX971) Un album émouvant dans un univers manga. On suit le parcours de Naoko, jeune orpheline qui accueille l'ombre d'un défunt à ses côtés, en quête de repères. Malgré un sujet triste en apparence, le ton n'est pas lourd et on se surprend souvent à rire. La peinture d'un Japon rural est très réussie. La fin du tome 1 pourrait se suffire à elle-même, la suite ne semblant pas indispensable même si j'aurais sans doute plaisir à découvrir le tome 2. Oui en collège et lycée pour le Prix BDz'îles.