... les maisons sont pareilles à des enfants, elles n'oublient pas les mauvais traitements qu'on leur inflige.
La beauté dépend de ce qu’on ne voit pas, le visible de l’invisible.
(George Inness)
On a cette vie et ce qu’on en fait.
Tout est possible avec un bon avocat.
Tous les parents sont coupables de quelque chose. On fait ce qu'on peut pour essayer de réparer. Parfois ça marche. D'autres fois, hélas, on est obligé de lâcher.
Les vieilles maisons (…), elles ont toutes des douleurs et des chagrins comme nous.
Le mariage est un curieux arrangement, pense-t-il en montant l'escalier. Même après toutes ces années, il y a encore des choses chez sa femme qu'il ne comprend pas. Le mystère, devine-t-il, c'est ce qui entretient l'intérêt.
Mary dit toujours que les maisons sont pareilles à des enfants, elles n'oublient pas les mauvais traitements qu'on leur inflige.
On sait que les choses vont mal quand une virée au supermarché constitue la principale sortie de la journée.
La mort est absolue. On dit que c'est la grande inconnue - mais c'est faux. On la connaît. On la reconnaît quand on la voit. Quand on sent son odeur. On passe sa vie à la courtiser. Les drogues, l'alcool, la nourriture. Elle est partout autour de nous. On la promeut. Au supermarché ; ces gros titres annonçant des overdoses, des suicides. Les tragédies de tous les jours. Les posters de morts qu'on accroche sur nos murs – Marilyn, James Dean, et même Jésus.