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Critique de AgnesdeC
Entre deux romans, Marion Brunet nous offre une magnifique novella noire ciselée de sa langue claire et délicate, qui se lit comme on déguste un bon vin.
Katja débarque un jour de Berlin dans une vaste demeure bretonne battue par les vents, en bout de presqu'île. Son propriétaire, un journaliste international renommé atteint d'un cancer en phase terminale, cherche une femme de chambre. Il la recrute sans mesurer les intentions de cette jeune femme forte et fragile.
Sur fond d'histoire de la RDA et de la chute du mur, l'intrigue nous tient en haleine tandis que les portraits des deux protagonistes se dessinent avec finesse. Un très bon cru, comme L'Été circulaire et Vanda, qui donne envie de prolonger la dégustation avec le reste de l'oeuvre de l'autrice comme avec les volumes antérieurs de la collection Polaroïd des éditions In8 !
Katja débarque un jour de Berlin dans une vaste demeure bretonne battue par les vents, en bout de presqu'île. Son propriétaire, un journaliste international renommé atteint d'un cancer en phase terminale, cherche une femme de chambre. Il la recrute sans mesurer les intentions de cette jeune femme forte et fragile.
Sur fond d'histoire de la RDA et de la chute du mur, l'intrigue nous tient en haleine tandis que les portraits des deux protagonistes se dessinent avec finesse. Un très bon cru, comme L'Été circulaire et Vanda, qui donne envie de prolonger la dégustation avec le reste de l'oeuvre de l'autrice comme avec les volumes antérieurs de la collection Polaroïd des éditions In8 !
