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Critique de alberthenri


Meudon, 30 juin 1961.
Louis-Ferdinand Céline, sent la mort venir.
Entre ses maux et son désir d'achever son dernier roman, il se souvient...
L'auteure a choisi un point de vue périlleux, et certains diront présomptueux, parler à la place de Céline.
L'exercice était risqué, je le trouve réussi, les souvenirs tour à tour chaotiques ou plus subtilement littéraires, de l'auteur du "voyage au bout de la nuit", étaient des plus difficiles à restituer d'une façon cohérente et accessible.
Mais pas accessible à tout le monde, car autant vous avertir, il faut être "Célinien(ne)" confirmé(e) pour apprécier ce court roman, qui bien entendu, puisque c'est son sujet, aborde dans les détails, la vie et l'oeuvre de cet écrivain, qui demeure controversé.
Je termine ce mot, avec une remarque de pinailleur, qu'on voudra bien, je l'espère, me pardonner moi qui ne suis même pas bachelier.
Sur le bandeau du livre, je lis dans la présentation de l'auteure qu'elle a : " fait une thèse sur la dérision chez Céline".
Je ne suis pas aller très loin dans l'étude de notre chère langue française, mais je crois bien me souvenir, avoir appris qu'il faut éviter le verbe "Faire", et le remplacer par un autre plus précis.
"Ecrire, rédiger, soutenir, une thèse"..?!
Détail me direz vous ? Peut-être !
Mais pour présenter un livre sur un auteur si pointilleux sur le choix des mots c'est un peu léger...
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