J'ai découvert
Michel Bussi, il y a 3 mois complètement par hasard.
J'ai dévorée "comme
un avion sans elle" en 4 jours, complètement prise par l'intrigue. Idem pour "
maman à tort".
Ayant lu énormément de critiques positives concernant les
nymphéas noirs, je me suis lancée quoique n'y connaissant rien à la peinture, à Monet et aux impressionnistes j'avais un peu peur d'être larguée.....
Donc j'ai commençé laborieusement les nymphéas. Je dois vous avouer que ce fût vraiment laborieux, et j'ai crû que je n'en verrais jamais la fin.....
Ce n'est qu'aux alentours de la page 420 (sur 490) qu'on commence vraiment à rentrer dedans. J'ai trouvé le dénouement un peu facile, on a un peu l'impression de se faire rouler dans la farine pendant 490 pages.
On essaye pas d'emmener le lecteur sur de fausses pistes, le persuader d'un coupable pour enduite lui faire rebrousser chemin, rien juste une enquête de police qui se déroule. Lentement, très lentement, sans rebondissement.
Franchement si vous voulez découvrir l'univers de Bussi, ne commencez surtout pas par celui-là....Ou encore mieux, zappez le
Commenter  J’apprécie         60