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Critique de fredbologsen
J'ai refermé cette BD, quelque peu déçu.
Non pas tant par la BD, je n'ai quasiment rien à lui "reprocher", mais plutôt par l'histoire dont elle est tirée, le roman-polar de Michel Bussi.
Je sais bien que tout auteur se doit de nous raconter une belle histoire, et qu'il enjolive à sa sauce. Et pour cela, tous les moyens sont bons, y compris une économie de vérité, voire un peu de mensonge.
J'ai été pris par l'histoire et l'intrigue dès les premières pages de cette BD, avec une seule question en tête: puisque l'enquêteur, Crédule Grand-duc, vient de comprendre ce qui s'est passé ou a pu se passer, -même 18 ans plus tard-, et à la seule lecture -voire, re-lecture- du quotidien de l'époque, que pouvait bien contenir ou de quoi pouvait bien parler le journal en question?
Et là, pchuitt, comme aurait dit un ancien président de la République, mais pchuiitt de pchuitt!!!!
Une explication abracadabante, et ce n'est pas tant l'explication en elle-même, que le fait que les services de police et de gendarmerie locaux n'y aient pas pensé, à l'époque, comme l'une des hypothèses de travail......
Cela n'est pas sans me rappeler "Le dompteur de lions" de Camilla Lackberg, où l'enquêtrice met à jour une piste encore jamais envisagée par les services de police, alors qu'elle "est" évidente.
Comme une déconnection entre l'auteur (e) et l'enquête policière et le travail des enquêteurs sur le terrain.
Eh bien, c'est dommage.
J'ai eu mon plaisir gâché dans ces dernières pages.
Non pas tant par la BD, je n'ai quasiment rien à lui "reprocher", mais plutôt par l'histoire dont elle est tirée, le roman-polar de Michel Bussi.
Je sais bien que tout auteur se doit de nous raconter une belle histoire, et qu'il enjolive à sa sauce. Et pour cela, tous les moyens sont bons, y compris une économie de vérité, voire un peu de mensonge.
J'ai été pris par l'histoire et l'intrigue dès les premières pages de cette BD, avec une seule question en tête: puisque l'enquêteur, Crédule Grand-duc, vient de comprendre ce qui s'est passé ou a pu se passer, -même 18 ans plus tard-, et à la seule lecture -voire, re-lecture- du quotidien de l'époque, que pouvait bien contenir ou de quoi pouvait bien parler le journal en question?
Et là, pchuitt, comme aurait dit un ancien président de la République, mais pchuiitt de pchuitt!!!!
Une explication abracadabante, et ce n'est pas tant l'explication en elle-même, que le fait que les services de police et de gendarmerie locaux n'y aient pas pensé, à l'époque, comme l'une des hypothèses de travail......
Cela n'est pas sans me rappeler "Le dompteur de lions" de Camilla Lackberg, où l'enquêtrice met à jour une piste encore jamais envisagée par les services de police, alors qu'elle "est" évidente.
Comme une déconnection entre l'auteur (e) et l'enquête policière et le travail des enquêteurs sur le terrain.
Eh bien, c'est dommage.
J'ai eu mon plaisir gâché dans ces dernières pages.
