J'ai tendance à abandonner rapidement les livres qui m'échappent et c'est ce que j'aurais fait avec
Confiteor il y'a quelques années si une amie libraire ne m'avait pas persuadée d'aller au moins jusqu'à 100 pages.
Je n'ai jamais regretté cette persévérance qui m'a fait découvrir l'univers unique de cet auteur, qui je le conçois, peut désarçonner au premier abord.
J'ai retrouvé dans «
Consumés par le feu », les thèmes qui traversent l'oeuvre de
Jaume Cabré, à savoir, le temps, la mémoire, le bien et le mal.
Et comme j'aime être bousculée tant sur le fond que sur la forme, ce livre m'a ravie.
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