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Critique de Abettik


Or donc, alors que je cherchais de quoi occuper quelques heures de voyage en train, voilà que je tombe sur « L'Exil », le dernier paru du Cycle d'Ender d'Orson Scott Card[1].

Re-or, re-donc, cette lecture intervient après l'écoute de la formidable émission quotidienne de Philippe Colin & Xavier Mauduit cet été sur France Inter, « Les persifleurs du mal », consacrée à « une brève histoire du mal en 25 épisodes, avec l'espoir de souligner combien nous sommes définis par cette dualité. », et plus particulièrement, ce jour-là, à la définition du mal [5] avec l'intervention de Michel Puech[4], maître de conférence en philosophie à l'Université Paris-Sorbonne, en charge d'un cours sur la philosophie du mal.



Au fond, l'émission radiophonique et les romans se répondent l'un l'autre, abordant chacun à leur façon le sujet de la violence et de sa justification. Les remarques de Michel Puech m'ont aidé à poser des mots sur le fond des idées développées notamment dans « La Stratégie », premier roman du cycle.



Comme je n'ai peur de rien, je vais tenter de démontrer d'une part que le cycle d'Ender participe d'une vision très « étasunienne » du monde en général et de la confrontation entre les peuples en particulier et d'autre part, que les thèmes abordés s'intègrent dans un débat philosophique autour de la définition du mal et des techniques pour s'en défendre. (Et tout cela, armé seulement d'une année d'introduction à la philo en Terminale S, il y a 15 ans de cela, de ce que j'ai compris d'une émission de radio, et des notes d'un cours de philosophie, autant dire que la tâche sera rude.)
Lien : http://sfetal.blogspot.com/2..
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