" Tous deux eurent soudain la sensation d'avoir vécu trente ans côte à côte, d'être un vieux couple qui se prenait par les mains, dans un geste simple de tendresse au bout des années.
Tant l'amour était ancré dans leurs deux cœurs."
Si la familia había sido una fingida escena teatral, una gran mentira, qué podía ser el mundo, se preguntaba Eleanor.
[...] la vida no se justifica si un niño tiene que sufrir.
Ya ninguno recordaba sus buenos momentos del pasado ni era capaz de imaginar un futuro feliz. Era 1935. Entonces, se separaron.
Quand elle arriva en Suisse après son premier voyage d’adulte en avion, elle vomit sur le ciel helvétique
Quand Adrian reçut cette lettre, presque un mois plus tard, il eut l'absolue certitude u'Eleanor viendrait bientôt le rejoindre. Puisque l'oncle Adrian existait, et aussi son rêve de découvrir l'Europe, Eleanor ne se serait pas suicidée.
Le suicide, pensa t'il, est la dernière issue quand il n'y a pas d'autre moyen de s'échapper
Mais Adrian Troadec, encouragé par l'idée que tôt ou tard il devrait faire un voyage aux Etats-Unis et fidèle à son habitude d'établir des plans à long terme, décida qu'il lui fallait gagner plus d'argent en vue de cette aventure…..
Il décida d'ouvrir à Genève et à Berne deux autres établissements à l'enseigne du petit chocolat Troadec.
Para Adrian Troadec el sabor del amor volvía a mezclarse con el sabor del chocolate. Para Elena, amor y chocolate serían ya siempre una misma cosa.
Todos los sueños se habían detenido en el mundo. Los años de la guerra sólo permitían espacio en el pensamiento para concentrarse en sobrevivir.
La melancolía que había apreciado Adrian Troadec en sus cartas había arraigado en ella hacieéndola navegar ahora a la deriva en un océano de recuerdos e insatisfacciones. El chocolate, sólo el chocolate, le devolvía la memoria de la felicidad.