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Critique de luparahlam


Suite de la Maison des voix que j'avais particulièrement aimé mettant en scène l'hypnotiseur Pietro Gerber que l'on retrouve deux ans après l'affaire Hanna Hall.
On referme cet opus hyper frustré de devoir attendre la suite.
J'ai été déçue par La maison sans souvenirs sans comprendre pourquoi exactement car je retrouve Donato Carrisi que j'affectionne, c'est un vrai page-turner, les chapitres sont courts et mènent tous vers un suspense soutenu. Mais... j'ai été moins emballée ! Si les personnages principaux servent étonnamment bien les histoires que Carrisi nous propose, j'ai néanmoins eu l'impression que parfois, quelques phrases étaient écrites à la va-vite, sans réelle profondeur.
L'intrigue est bonne en tout cas : un adolescent de 12 ans, qui avait disparu voila 8 mois avec sa mère, est retrouvé seul au milieu de la forêt, il ne parle pas et ne cligne quasiment pas des yeux. Pour comprendre ce qui lui est arrivé, la juge Anita Baldi fait appel à Gerber, hypnotiseur, psychologue pour enfants car elle est persuadée qu'il a tué sa mère.
Au fur et à mesure des séances, Gerber est troublé par des détails et très vite il s'aperçoit qu'il est autant pris au piège que cet ado qui ne prononce pas un mot.
(Je note ici l'agacement de trouver des coquilles à plusieurs reprises dans l'ouvrage, ça fait buter la lecture !)
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