La Maison sans souvenirs

J'avais aimé la maison des voix, j'ai donc plongé avec délice dans la suite de aventures de Pietro Gerber. L'histoire se passe 2 ans après l'affaire Hannah Hall et de nombreuses choses ont changé dans la vie de l'hypnotiseur. Néanmoins son métier reste toujours une priorité et son dernier cas est particulièrement épineux : communiquer avec un jeune garçon devenu muet après une disparition de plusieurs mois. En l'état, rien d'insurmontable pour l'endormeur d'enfants. Malheureusement des complications vont rapidement mettre à mal l'expérience de Pietro et le mener sur des chemins tortueux, où son passé n'est jamais loin…

Pas de surprise, encore un excellent opus du maître du thriller psychologique ! La plume est fluide, l'histoire parfaitement menée (et d'ailleurs dévorée bien trop rapidement 😉)
Maintenant je n'ai qu'une question : à quand la suite ?

Je suis une grande fan de Donato Carrisi, j'ai lu tous ses livres…
Je suis déçu… Je déteste les suites et attendre 1 an pour connaître la fin. Ça m'énerve au plus haut point.
Sinon, c'est la « suite » (ça, vous l'aurez deviné !) de la maison des voix, j'ai aimé retrouver Pietro Gerber, bien que !
Un roman prenant, mais qui vous laisse sans voix ni souvenir : PARCE QUE vous ne savez pas la FIN.

Bon, je suis en colère…

Si vous chérissez Donato Carrisi, vous ne serez pas déçu… Un récit haletant, une histoire qui vous tiennent en haleine jusqu'à la dernière page, un auteur incontournable.

Chaque année, c'est un réel plaisir de lire son nouveau chef-d'oeuvre. Mais l'année prochaine mon attente sera deux fois plus insupportable…

Je vais donc essayer de t'oublier Donato… Tu me manques déjà !

Merci à Masse critique de ne pas m'avoir offert ce livre ! Parce que je n'aurais pas pu patienter :-).

Bonne lecture !

Quelle histoire ! Bienvenue dans le monde infini de l'hypnose. Un enfant disparu avec sa mère est retrouvé seul, et pour le faire parler, il va falloir recourir à l'hypnose, mais à qui appartient l'histoire qu'il raconte ? Est-elle seulement vraie ? Notre auteur est fort, très fort, quand, en plus, on sait que tout est possible. Vous ne le lâcherez pas : vous êtes prévenu (lol). Et restez particulièrement attentif aux derniers chapitres, le dénouement est un labyrinthe. Heureusement pour nous que ces professionnels ont une déontologie pour ne pas en abuser sur nous.

Pietro Gerber est hypnothérapeute, et comme son père avant lui, s'est fait une spécialité de soigner les enfants. Ainsi, la justice lui soumet un nouveau cas, celui de Nico, découvert errant par le chien d'une promeneuse. le garçon reste muet mais tout l'accuse d'avoir assassiné sa mère, avec laquelle il a disparu quelques temps plus tôt. Pietro va devoir démêler l'affaire mais elle s'avère plus compliquée que prévu, d'autant que le thérapeute a ses propres problèmes et démons, lesquels demandent aussi leur part d'attention.
Clairement ce n'est pas le meilleur des Carrisi. le personnage principal, l'endormeur d'enfant, est plutôt bien fait mais il y a trop de pistes, de retournements et finalement de confusion pour que ça me laisse un grand souvenir, ce qui est un comble au vu du titre. Décevant donc.

Livre audio – Lu par Sylvain Agaësse : 9h28

Ce volume est la suite de “La maison des voix”, où nous retrouvons Pietro Gerber pédopsychiatre et hypnotiseur, mais il ne m'a pas manqué d'info de ne pas avoir lu le précédent.

Il doit s'occuper d'un jeune garçon, sorti de nulle part après plusieurs mois de disparition et sans aucune trace de sa mère. Il est muet, si ce n'est qu'il semble avoir assassiné sa mère. Pietro va travailler avec lui sous hypnose et découvrir une chose glaçante qui va le mener très loin dans la psyché d'un inconnu et le faire le témoin d'événements dramatiques.

L'auteur est à la hauteur pour nous plonger dans les méandres de l'esprit et de sa manipulation et il réussit à rendre le tout assez angoissant ! Angoisse renforcée par la lecture de Sylvain Agaësse qui sait mettre les accents et les intonations propres à chaque personnage. En audio, c'est un thème qui a encore plus de puissance, surtout si, comme moi, vous aimez “vivre” les romans.

Le point négatif, celui qui m'a amené à me récrier à la fin du récit, c'est qu'il a ouvert une boîte de Pandore qui ne se referme pas avec celui-ci, qu'il y a eu un rebondissement et qu'il faut attendre le roman suivant, et je n'espère pas celui d'après, pour savoir qui et pourquoi !! Je comprends qu'il y ait une intrigue de fond mais de cette façon où aucune réponse n'est apparue.

Ça irrite, surtout quand on a cavalé du début à la fin ; la notation est à la hauteur de ma déception !

#Lamaisonsanssouvenirs #NetGalleyFrance

Lecture Thématique Polar avril 2023 : Un auteur

L'hypnotiseur florentin piégé lui aussi dans une énigme meurtrière.
Donato Carrisi, déjà lauréat de plusieurs prix littéraires, poursuit son oeuvre de bon auteur de thrillers italiens.
D'entrée de jeu les évènements macabres captent notre attention et créent une ambiance menaçante à tout va.
Pietro Gerber, dit l'hypnotiseur, est appelé afin d'aider l'équipe d'enquêteurs qui se retrouve avec l'obscure histoire de Nikolin, garçon de 12 ans, de retour de la vallée de l'Enfer après que la police ait retrouvé la voiture abandonnée, voiture dans laquelle il aurait vécu depuis un moment avec sa mère qui elle a bel et bien disparue.
Nikolin muet après sa disparition de plusieurs mois, se comporte comme s'il était l'auteur d'un fait abject, à savoir l'assassinat de sa mère, mais personne n'y croit. Il faudra pourtant essayer de dénouer l'écheveau qui s'est formé dans le cerveau de ce jeune garçon.
Plus Pietro l'hypnotiseur avance et essaie de saisir les faits cachés, faits volontairement ou involontairement enfouis au fond de Nico, plus il se met lui aussi en danger. Et de fil en aiguille on se retrouve à avoir peur pour les deux car ils sont pareillement menacés, lui et le garçon.
Ogre, tarot, et autre ….nous emportent parfois vers davantage de macabre que de réel, mais c'est bien amené, bien amalgamé avec l'enquête policière de fond.
Je regrette juste que Donato Carrisi n'ait pas révélé le dénouement à la fin de cet opus. Il aurait pu en mettre un, quitte à rebondir sur celui-ci dans le prochain livre qui semble prévu pour l'année prochaine. Laisser le lecteur sans un soupçon d'éclaircissement ne me parait pas être la bonne attitude pour un thriller..
Mais cela reste tout de même du bon Carrisi.

Donato Carrisi nous plonge une nouvelle fois dans les méandres de la psyché humaine. L'endormeur d'enfants, encore éprouvé par sa précédente affaire, va devoir faire face à un être machiavélique, et surtout remettre en question ce qu'il a appris.
Alors seul contre tous, sera t'il prêt à donner encore de sa personne ?

Un roman qui se dévore plus qu'il ne se lit tant l'impatience de savoir est forte. Les chapitres sont courts et la plume de l'auteur fluide.
Petit bémol, quelques coquilles et une fin un peu abrupte. Cependant cette dernière est une véritable fenêtre d'opportunités et de questionnements. Une prochaine aventure n'est pas une option mais une attente interminable.

Plusieurs mois après la disparition mystérieuse d'une mère et de son fils où leur voiture avait été découverte dans les bois de Toscane, voilà que le jeune garçon est découvert; errant seul dans la vallée de l'enfer.
Pietro Gerber va tenter, grâce à l'hypnose, d'arracher à l'enfant la vérité sur ces derniers mois.
C'est à ce moment qu'entre dans la danse, l'affabulateur, un hypnotiseur qui ne respecte pas le code de déontologie de la profession et qui se sert de l'enfant pour de sombres desseins.
Pietro mène un triple combat, au cours duquel il doit découvrir le passé récent du garçon, trouver l'identité de celui qui le manipule et apprendre à vivre seul depuis le départ de sa femme et de son fils. Sa réputation est en jeu et il en fait un cas personnel, mais a-t-il vraiment le choix?

Donato Carrisi revient sur le devant de la scène avec l'endormeur d'enfants qu'est Pietro Gerber, deux ans après la maison des voix. le travail de recherche sur l'hypnose apporte un réel intérêt au roman.
Pour ce qui est de l'intrigue, l'auteur crée un écran de fumée devant le lecteur pour mieux arriver à ses fins, sauf qu'une fois que celui ci s'est dissipé..... On se retrouve en plein brouillard.

Second opus de sa trilogie, la maison sans souvenirs ne m'en laissera peu. Trop de questions restent sans réponses, comme souvent avec les sagas de Donato Carrisi, laissant le lecteur perplexe et dans l'attente de la suite qui mettra une année à arriver, tout comme les réponses.
Je trouve ce procédé frustrant, et les rappels du premier opus ne m'ont pas permis de me souvenir de l'histoire avec Hanna Hall.

Je vous conseille d'attendre la sortie du roman qui clôturera la saga Pietro Gerber, pour tous les lire à la suite.

Chronique d'une Flingueuse : La Chat Pitre de Sophie pour Collectif Polar
Victime d'un accident de la route au beau milieu de la Valle dell'inferno, en Toscane, Nikolas, 12 ans, est retrouvé vivant après plusieurs mois de recherche. Il est en bonne santé, il semble avoir été nourri et soigné. Pourtant le garçon, qui reste muet, personne n'arrive à le faire parler. Poutant on aimerai savoir ce qui s'est passé durant ses nombreuses semaines de disparitions.
Du coup, le célèbre hypnotiseur Pietro Gerber est sollicité pour pénétrer son esprit et découvrir son histoire.
Quand Nicolas se révèle, il dévoile d'atroces crimes dont il dit être l'auteur. Mais Gerber soupçonne une réalité bien plus macabre et craint pour la vie de l'adolescent…
Seconde enquête du psychologue, hypnotiseur Pietro Gerber.
Je suis restée sur ma faim, j'ai préféré la maison des voix ,
Ici j' ai trouvé cela trop torturé, trop froid et l'impression de tourner en rond ,mon cerveau est en monde surchauffe. le vrai, le faux, ce qui est réel et ce qui ne l'est pas .
Donato Carrisi plonge ici le lecteur dans les abîmes de la conscience humaine.
Mais j'ai hâte de connaître la suite quand même, donc il faut attendre le troisième opus
#thriller #lecture #livre #donatocarrisi
Lien : https://collectifpolar.blog/..

Après le Chuchoteur, voici venir l'Endormeur et l'Affabulateur !

Je viens d'enchaîner la lecture de « La maison des voix » et de « La maison sans souvenirs », soit les 2 premiers tomes de la nouvelle saga de Carrisi, centrés sur le personnage du psychanalyste Pietro Gerber - expert auprès d'une juge pour enfants. Il s'avère finalement que chaque livre peut se lire indépendamment de l'autre, en sachant tout de même que 2 années séparent ces 2 intrigues différentes.

J'ai trouvé l'écrivain italien en petite forme. Il semble avoir la paternité soucieuse (l'âge aidant ?). Il n'a jamais été aussi pontifiant qu'ici en parlant de psychanalyse, d'hypnose et de l'enfance. Il est quand même capable de nous pondre des phrases du genre : « Depuis le début, il voulait rendre son innocence à cet enfant ».

Notre protagoniste va enquêter à nouveau entre Florence (plus terne que jamais, pour les besoins de l'intrigue) et ses environs, aux prises avec des enfants et des adultes qui s'accusent du pire ou qui doutent de tout et de rien. Comme dans « La maison des voix », l'auteur imagine une histoire née d'un violent désir de filiation prompt à susciter le drame, tout en jouant avec un panel de peurs enfantines qui peuplent de nombreux contes et légendes populaires.

Un livre hélas sans trop de profondeur, qui témoigne pourtant d'une constante remarquable dans l'oeuvre de Carrisi : une habilité à étoffer une galerie de personnages antagonistes plus intéressants, bien mieux écrits et développés que ses protagonistes. A eux seuls, ils justifient la présence d'un Pietro Gerber ou d'une Mila Vasquez [dans la saga du Chuchoteur] qui semblent n'exister que dans l'unique but de les affronter. Et à ce titre, je ne suis jamais déçue !