Les Indiens sont des êtres humains qui ont tous les droits et en premier celui de vivre comme ils l’ont toujours fait depuis des siècles.
Un homme, voyons ! Vous ne voudriez tout de même pas que j’utilise une femme pour vous mettre sur la piste d’une autre femme ! Évitons les scènes de jalousie !
Moins on fait de bruit autour d’une affaire délicate, plus on accomplit de la bonne besogne...
Les Brésiliennes sont très belles, mais pour nos besoins elles ne conviennent pas. C’est bien connu : nul n’est prophète en son pays ! Pour plaire aux Brésiliens il faut des étrangères et plus particulièrement des Européennes.
Un code, ça finit toujours par se déchiffrer.
Il faut toujours saupoudrer une aventure, même la plus sordide, d’un soupçon de rêve...
Le café que nous y buvons, nous les indigènes, est exécrable ! Le bon est réservé ! à l’exportation : nous avons un immense besoin de devises ou, à défaut, de denrées qui nous manquent.
À mon âge, on a besoin de très peu de sommeil. Mes espérances de vie se raccourcissant de plus en plus, je fais ce que je peux pour profiter de mes dernières années de jour : c’est pourquoi je les prolonge pendant des nuits entières jusqu’à l’aurore... Je me méfie de la nuit ! Non qu’elle me fasse peur, mais je sais qu’inéluctablement elle se présentera sous une forme éternelle pendant laquelle je m’ennuierai beaucoup.
Mieux vaudra jouer les illuminés sincères que les malins trop avertis !
Une femme faite de mystère et de rouerie. Ce qu’il avait pu entrevoir du regard et de la silhouette indiquait qu’elle était belle. Aucun doute à avoir non plus sur son intelligence : elle l’avait prouvé par son comportement. Pour le reste tous ces impondérables de chaque instant qui font d’une femme un monstre ou une créature de rêve, Geoffroy était en plein brouillard.