J'ai beaucoup aimé
Des amours dérisoires et son héros, Vincent, est très attachant malgré toutes ses petites imperfections qui ne le rendent finalement que plus humain et plus proche des lecteurs.Le ton du livre reste toujours très léger, même lorsqu'on aborde des sujets plus graves tels que la solitude, les désillusions amoureuses, l'adultère, etc.
Comme dans
La blancheur qu'on croyait éternelle, le roman est émaillé d'un tas de références à la culture pop, dont des petits bouts de chansons qui s'intègrent si parfaitement au texte qu'on ne les décèle pas toujours.
Des amours dérisoires m'a donc beaucoup plu, mais pas tout à fait autant que
La blancheur qu'on croyait éternelle qui reste mon préféré...
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