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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Lorsque Lucie reçoit la visite impromptue d'un huissier, c'est toute son enfance qui lui revient brutalement, toute une période dont elle s'était sortie presque par miracle. Ses parents font valoir leur droit par voie de justice afin de voir leurs petits enfants. S'engage une procédure longue et pénible dont les étapes alternent avec l'évocation de cette jeunesse sacrifiée, de la haine que lui vouait sa mère, de la lâcheté et de l'irresponsabilité de son père et de ses frères et soeurs pris au piège d'un chantage affectif odieux. le chemin est long pour s'opposer à la demande des grands parents, car la maltraitance dont il est question est de celles qui ne laissent pas de traces physiques. Il faut donc que Lucie obtienne des témoignages de proches pour prouver ses dires.

On lit avec effroi le calvaire de Lucie, la folie des cette mère indigne, dont on comprendra plus ou moins l'attitude avec les révélations qui ne manquent pas de surgir avec les attestations obtenues.

Ce roman glaçant se dévore comme un thriller tant on s'angoisse de connaître le dénouement du procès, dont l'issue n'est pas gagnée d'avance .

C'est éprouvant, poignant mais nécessaire.

320 pages Viviane Hamy 23 août 2023

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Parce qu'il rêve de terre, de champs, de labeur et de travailler avec ses mains, un père de famille décide de partir habiter à la campagne. L'emménagement à la Trigaudelle se fait très vite, sur sa décision. Il n'a consulté aucun des membres de la famille, pas même sa femme dont le scepticisme est à l'opposé de l'enthousiasme de cet homme bafoué. Lucie va vivre dans cet enfer, humiliée, cloîtrée, rejetée. Sa mère lui voue une haine sans borne, sans aucun soutien, dans le silence de la violence. Lucie va trouver le courage de se battre, de ne pas plier, de puiser en elle l'espoir d'une vie meilleure… Mais a quel prix ?

Déchirer le grand manteau noir de Aline Caudet est un premier roman d'une grande intensité. L'auteur manie les mots, les époques, les émotions avec habileté et nous entraîne dans l'enfer d'une maltraitance sournoise et inavouable.

Quand on rencontre Lucie, elle est mariée et mère de 3 enfants. Elle nous dévoile rapidement ce qu'elle a enduré tout au long de son enfance, de son adolescence, jusqu'à ce qu'elle puisse s'assumer financièrement. Elle évoque les cris de sa mère, sa haine, son mépris. Ce père qui ne l'a protège pas, donnant raison à son épouse hystérique. Sa soeur, qui cherche à prendre sa défense, craignant elle aussi la colère de sa mère.

Tous ces souvenirs remontent à la surface, la nausée au bord des lèvres, parce que ses parents lui attentent un procès pour qu'ils puissent voir leurs petits-enfants. Lucie est alors obligée de dire, de raconter, d'avouer. Elle doit mettre des mots sur des silences, des mensonges, des non-dits. Elle doit combler les vides, les blancs, les effacements.

Mais elle n'est plus seule… Son combat n'en est pas moins difficile, mais plus supportable. Ce corps qu'on lui a volé, cette confiance qu'elle n'a jamais pu donner, cette estime de soi qui s'est effacée, sont des blessures qui jamais ne guériront. Mais la vérité, éclatante, irréversible, pourra peut-être les soulager.

Dans la famille de Lucie, la violence règne, pas celle qui se voit et laisse des traces, celle qui est invisible et broie à l'intérieur. Son histoire fait mal, elle arrache les larmes et les cris. Mais c'est aussi la voix qui chuchote dans la nuit, et qui en un souffle balaie la lâcheté de ce monde…
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La mal-aimée

Dans ce bouleversant premier roman, Aline Caudet raconte le calvaire que subit Lucie au quotidien au sein d'une famille qui la rejette. Violence, privation et viols dont elle aura beaucoup de peine à s'extirper. Un récit d'autant plus glaçant qu'il s'inspire du vécu de l'autrice.

Lucie a construit un bonheur simple, entouré de son mari Arnaud et de ses trois enfants, Anna, Théo et Amandine. Une vie paisible soudain bousculée par une assignation en justice. Ses parents réclament le droit de voir leurs petits-enfants. Un choc d'autant plus fort qu'il ravive un passé douloureux.
Un passé auquel Lucie va à nouveau devoir se confronter pour se défendre, pour empêcher cette ignominie. Car ses parents l'ont fait souffrir durant tout le temps où elle a vécu avec eux.
D'abord ignorée par sa mère, elle va devenir au fil des jours le paria de la famille, celle qui est systématiquement rejetée et se verra interdite de partager la table familiale. "Je dois rester à part, seule dans ma chambre. Ma soeur vient me chercher quand il n'y a plus personne dans la cuisine, là je suis autorisée à descendre." Elle peut alors manger les restes si sa mère ne la chasse pas avant.
Une situation que son père constate et accepte, préférant détourner le regard que d'affronter cette furie hystérique. La fratrie, quant à elle, va adopter une position neutre, voire hostile. Sauf sa soeur Estelle, qui va payer très cher ses tentatives de révolte face aux traitements inhumains infligés à sa soeur. Et qui vont perdurer au fil du temps, car personne ne vient rendre visite dans leur maison délabrée et isolée dans la campagne des alentours de Clermont-Ferrand.
Et toute tentative d'appeler au secours est bien trop risquée. "Si j'explique comment je suis traitée à la maison, mes parents, furieux, se retourneront contre moi. J'imagine bien la dame des services sociaux venir avec sa mallette remplie de dossiers, sortir une feuille, un stylo, et poser des questions à mes parents. (...) Elle repartirait, me laissant seule avec mes parents fous furieux. On n'enlève pas comme ça un enfant à sa famille. Je ne sais pas jusqu'où peuvent aller les représailles si je brave cet interdit: rien de ce qui se passe à la maison ne doit sortir du strict cadre familial. Ma mère n'a pas besoin de le formuler, nous le savons."
À l'extérieur, on donne l'image d'une famille unie, on accepte les invitations, notamment chez les grands-parents. La grand-mère attentionnée qui redonne du courage à sa petite-fille en lui donnant l'affection qui lui manque tant. Mais aussi la grand-mère qui s'interdit de demander ce qui se passe dans le bureau du grand-père quand, après le repas le patriarche s'isole avec l'une de ses petites filles. Lucie, Estelle et Madeleine sont violées. Comme le confessera plus tard Madeleine, la décision est alors prise de cesser ces visites dominicales. «Les parents n'ont pas cherché à savoir dans quel état moral nous nous trouvions ni à nous apporter un quelconque soutien psychologique. Ils n'ont pas voulu porter plainte contre le grand-père incestueux. Ils se sont justifiés en disant vouloir préserver la réputation de la famille alors qu'un procès contre le grand-père aurait aidé leurs filles à comprendre la gravité des actes dont elles avaient été victimes, et à se reconstruire. En revanche, ils font à présent un procès à leur propre fille sans se soucier qu'il contribue par là-même à nous détruire.»
Aline Caudet, qui écrit sous pseudonyme, a scindé son roman en trois parties dans lesquelles elle retrace la vie de Lucie jusqu'à son départ du domicile, ses premiers pas de femme à la recherche d'un équilibre avec le lourd lest de son traumatisme et les moyens très limités dont elle dispose et enfin le déroulé de cette action en justice qui va prendre des années jusqu'au jugement.
Si on est forcément sidéré par ce drame, saisi d'effroi par des scènes dramatiques, on ne peut à l'inverse qu'être admiratif de la manière dont, petit à petit, la fillette, l'adolescente et la jeune femme vont parvenir à se défaire de ce carcan, de ce grand manteau noir qui l'empêche de se mouvoir. La force de ce roman tient sans doute dans cette énergie, cette volonté de plus en plus farouche de s'en sortir. Un peu comme dans l'enragé de Sorj Chalandon où un garçon s'évade du bagne où il est retenu et va chercher à se reconstruire. Entre horreurs et résilience, la voix reste étroite et parsemée d'embûches, mais elle existe. La plume d'Aline Caudet est là pour nous le rappeler.
NB. Tout d'abord, un grand merci pour m'avoir lu! Sur mon blog vous pourrez, outre cette chronique, découvrir les premières pages du livre. Vous découvrirez aussi mon «Grand Guide de la rentrée littéraire 2024».Enfin, en vous y abonnant, vous serez par ailleurs informé de la parution de toutes mes chroniques.



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Je vous recommande ce livre bouleversant sur les violences familiales et la résilience. Il réussit à nous transmettre une formidable envie de vivre !
Porté par un style épuré et direct, ce roman nous transporte en évitant avec élégance l'écueil du voyeurisme.
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Ce roman ressemble davantage à un témoignage dans l'écriture. Une femme se bat pour échapper à son enfance maltraitée et surtout pour protéger ses enfants de ses parents toxiques.
Le livre débute avec la venue d'un huissier de justice qui sonne à la porte de Lucie pour lui remettre un pli. Ses parents l'attaquent en justice pour avoir le droit de voir leurs petits-enfants et les garder pendant les vacances scolaires. La peur et le malaise sont palpables tout au long de la lecture. Quelques bulles d'air et de bonheur trouent le « grand manteau noir » qui recouvre Lucie lorsqu'elle est avec ses trois enfants et son mari, Arnaud.
Les chapitres alternent entre présent et passé. Lucie raconte son enfance maltraitée, la haine de sa mère, l'emprise de son père, sa relation avec les autres membres de la fratrie. Puis elle fait le récit des différentes étapes avec la justice, le procès, leur avocat.
Ce roman très noir et dur s'inspire de faits réels. Une situation familiale qu'on espère unique mais qu'on suppose malheureusement exister ailleurs. Lucie déploie une force incroyable et admirable pour ses enfants, pour s'en sortir. Elle est épaulée par son mari dont on sent un grand amour les unir. La dépression n'est jamais loin. Lucie manque de confiance en elle.
Comme tout enfant, elle recherche l'amour de ses parents. Devenue adulte, elle s'éloigne d'eux pour reprendre le contrôle de sa vie mais « le grand manteau noir » est toujours présent. le lecteur est plongé dans l'esprit de la victime. Il y a un seul point de vue dans le roman et peu d'éléments sur le ressenti des parents, mis à part l'audition chez la juge.
Si vous aimez les romans psychologiques bouleversants, celui-ci est pour vous !
Lien : https://joellebooks.fr/2023/..
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Lucie a tout pour être heureuse : un mari aimant, des enfants pétillants. Lorsqu'elle reçoit une assignation en justice car elle refuse à ses parents un droit de visite sur leurs petits-enfants, c'est tout le passé de Lucie qui refait surface... une chappe de plomb asphyxiante, empreinte de violence et d'exclusion.
Enfant, Lucie vit une vie d'exil dans sa propre famille, sous l'emprise d'une mère tyrannique. Adulte, elle devient mère-louve, prête à tout pour protéger ses petits.
Un texte poignant vu de l'intérieur, à la 1ère personne.
Une histoire portée par un sentiment d'urgence et de résilience.
A lire !

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Les relations de famille, ce n'est jamais simple. Et il suffit parfois d'un seul membre pour que le verni craque, à juste titre.

Dans la famille de Lucie, elle est le mouton noir dès l'âge de 6 ans : sa mère ne veut plus la voir à table ni dans la maison (Lucie est cantonnée dans sa chambre), son père exige d'elle et de sa petite soeur des tâches ménagères et agricoles qui ne sont pas de leur âge.

Lucie raconte petit à petit le calvaire de son enfance et comment elle a pu faire des études malgré ses parents, se marier, avoir des enfants.

Jusqu'à ce qu'un procès vienne troubler l'harmonie si chèrement conquise : les parents de Lucie exigent de voir leurs petits-enfants.

J'ai suivi avec colère le quotidien de Lucie, les brimades tant physiques que psychologiques de la part de ses parents, mais aussi, dans une moindre mesure, de ses petits frères et soeurs.

J'ai détesté son grand-frère Sylvain, le « petit-roi » de la maison.

J'ai eu de la peine pour Estelle, sa jeune soeur qui, si elle ne subit pas de brimades continuelles, n'est pas arrivée à partir de la maison de ses parents, y laissant ses santés physiques et morales.

J'ai été étonnée des manifestations de générosités que Lucie reçoit, adulte, quand elle parle de ses problèmes : un monde si bienveillant m'a parfois fait tiquer.

J'ai eu de la peine pour cette jeune fille qui ne reçoit rien des aides publiques (ses parents les gardent pour eux) et qui doit se débrouiller seule pour faire des études.

J'ai été admirative devant l'acharnement du père pour obtenir ce qu'il veut, jouant de tous les subterfuges jusqu'à la violence.

J'ai aimé comprendre, au détour d'une phrase, pourquoi la mère avait ce comportement violent envers sa fille.

J'ai aimé que l'autrice montre que pour cette famille, les photos étaient belles, mais l'envers du décor sordide.

L'image que je retiendrai :

Celle de la chambre de Lucie dont le mur brut part en lambeaux. Dans la maison des parents, seuls le salon, la cuisine et la chambre du fils sont fait à neuf.
Lien : https://alexmotamots.fr/dech..
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Dès les premières lignes, l'angoisse étreint le lecteur. La convocation d'huissier, c'est pas bon signe.
C'est donc un roman qui commence par une injustice. Une mère de famille se voit attaquée en justice par ses parents qui réclament un droit de visite pour leurs petits-enfants. Oui mais voilà, Lucie, la narratrice les connaît trop bien. Elle ne compte pas les laisser briser sa famille comme ils l'ont brisée, elle. Mais pour se battre, elle doit apprendre à déchirer le grand manteau noir et à se défaire des fantômes du passé.

Nous voilà plongés dans ses souvenirs et dans sa réalité, forcés de découvrir son histoire et ses batailles, à suivre les aléas d'un parcours judiciaire en étant impuissants.
C'est une de ces lectures qui se font en apnée. Car c'est un récit autobiographique. L'auteure , reçue en vleel, raconte un combat. Contre elle-même, contre le silence, contre les apparences. Et quand la justice vient frapper à sa porte et mettre en péril cet équilibre chèrement acquis, on se demande comment les lois peuvent être aussi mal faites. L'auteure a une une réponse magnifique à ce sujet : « heureusement, derrière la justice il y'a l'humain. » C'est dire la résilience qui est la sienne.
Et c'est aussi tout l'intérêt de ce roman. Faire entrer la lumière par petites touches, jusqu'à ce que l'obscurité diminue. Montrer que la parole libère, que les gens qui nous entourent ne sont pas aveugles. Que chacun à leur manière, ils sont là.
Et laisser l'espoir s'installer. Progressivement.
Pour enfin commencer à se reconstruire.
Bravo pour ce courage.
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Un récit en plusieurs parties qui s'inspire du vécut de l'autrice à travers le personnage de Lucie.
Mariée à Arnaud, ils ont 3 enfants. Une famille harmonieuse, aimante, complice, complémentaire, solidaire. Un foyer stable et rassurant pour tous.
Dés la première partie, on apprend que les parents de Lucie demandent devant la justice un droit de visite sur leurs 3 petits enfants.
On ressent aussitôt, l'horreur que suscite cette demande chez Lucie. L'angoisse et la douleur sont palpable, à fleur de peau.
Les souvenirs de son enfance affluent et nous plonge dans l'enfer familiale qui a été le sien et par ricochet celui de ses frères et soeurs.
Un calvaire de maltraitance et d'injustice, fait de haine et privation que lui infligera sa mére puis son père, dés l'âge de 6/7 ans.
Un calvaire qui durera le tant qu'elle vivra chez ses parents. Celui ci prendra d'autres formes lorsque Lucie s'eloignera pour ses études et vivre sa vie tant bien que mal.
Un calvaire qui s'incarne à l'ouverture de ce roman par la visite de la police au domicile de Lucie.

Une lecture difficile mais prenante. L'histoire vous prend la gorge, ne vous lâche pas et amène beaucoup d'interrogations et de questionnements sur le comportement des parents.
Je souhaite tout le courage du monde à l'autrice dans son combat.
Puisse ce grand manteau, un jour prochain, devenir multicolore et se transformer en poussière que le vent emportera sur son passage.

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Lucie et son mari viennent d'emménager avec ses trois enfants, conservant leur nouvelle adresse secrète pour les parents de la jeune femme. En effet elle a coupé tout contact avec eux à cause de la relation toxique qui les unissait. Elle peut enfin respirer… jusqu'à ce qu'elle reçoive une assignation au tribunal : les grands-parents réclament de voir leurs petits-enfants. L'événement déclenche tout une procédure judiciaire au cours de laquelle ses amis et proches doivent témoigner afin de contrer la démarche des parents. le processus fait remonter les souvenirs d'une enfance terrible, où elle a été maltraitée par sa mère, violée par son grand-père, puis mise à la porte à 18 ans et sans argent. N'en jetons plus, mais la réalité dépasse hélas bien souvent la fiction, puisqu''en effet l'histoire est inspirée de faits réels et dénonce les violences physiques et psychologiques.

Mère abusive, toxique, maltraitante, qui a pourtant eu cinq enfants. Sa malveillance ne s'exerce, au premier chef, que sur Lucie ; indirectement cependant, en jouant du chantage affectif, elle influence les frères et soeurs afin qu'ils la rejettent eux aussi. Seule sa soeur cadette Estelle trouve le courage de se révolter parfois. Privation de repas, dénigrement constant, agression verbale, consignement dans la chambre, corvées domestiques, et bien évidemment aucune preuve d'amour. le père, lâchement, prend le parti de sa femme. La coupe est pleine lorsqu'on découvre les viols répétés du grand-père sur Lucie et Estelle, qui ne sont dénoncés par les parents que lorsque le monstre s'en prend à la petite dernière, qui elle bénéficie de toute l'affection maternelle. Si dès lors la famille rompt tout contact avec les grands-parents, pour autant rien n'est fait pour reconnaître les actes et accompagner les deux filles dans leur traumatisme. Les dégâts occasionnés sont plutôt bien exposés, qu'il s'agisse de la peur panique qui saisit Lucie, ou des relations restées difficiles avec Estelle.

Ce roman montre avec pédagogie les difficultés des victimes à se faire entendre, dès lors que les blessures ne sont pas visibles. On pourra cependant regretter les longs paragraphes psychologisants et que l'intrigue n'ait pas été plus resserrée et factuelle.
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