>
Critique de sassenach
Ferdinand Bond, producteur de cinéma, s'occupe seul de sa fille Clara, 8 ans et autiste. Sa femme Lorna n'a pas supporté la pression et la douleur de voir leur enfant enfermé dans un monde inaccessible à ses parents et s'est enfuie avec un autre homme. Mais la découverte d'extraits de journal de bord dans le cahier à dessin de Clara va bouleverser la vie de Ferdinand : ces extraits sont tout à fait cohérents, parlent de l'Alaska et sont datés de 2102 …
Je n'avais jamais lu de livre de Patrick Cauvin et le décès de celui-ci cette année m'a rappelé ce « manque » car il faisait partie des auteurs populaires français. J'ignorais donc tout de son style et de ses thèmes et j'ai abordé cette lecture sans aucun à priori. Par contre, au bout d'une dizaine de pages, j'ai très vite compris que je n'allais pas être séduite par le style vu que celui-ci était assez porté aux envolées lyriques et que je déteste ça ! J'ai donc essayé de me concentrer sur l'histoire proprement dite, même si les multiples descriptions (de la ville, des états d'âme de Ferdinand ou autres) ne facilitaient pas ma lecture. Tout d'abord, je ne suis jamais arrivée à ressentir quoi que ce soit pour les personnages : j'ai trouvé Ferdinand geignard, Lorna trop belle pour être vraie et Clara complètement stéréotypée. Quant aux personnages secondaires, ils m'ont paru peu crédibles ou totalement clichés. L'aspect fantastique de l'histoire ne m'a pas dérangée et j'ai trouvé l'explication de la maladie de Clara plutôt originale et menée de façon relativement cohérente mais noyée sous un déluge poussif de sentiments et de descriptions inutiles. J'aurais probablement aimé voir cette histoire développée sous la forme d'une nouvelle mais là, j'ai trouvé il y avait 200 pages en trop ! Autant dire que je ne suis pas prête à relire cet auteur dans l'immédiat !
Je n'avais jamais lu de livre de Patrick Cauvin et le décès de celui-ci cette année m'a rappelé ce « manque » car il faisait partie des auteurs populaires français. J'ignorais donc tout de son style et de ses thèmes et j'ai abordé cette lecture sans aucun à priori. Par contre, au bout d'une dizaine de pages, j'ai très vite compris que je n'allais pas être séduite par le style vu que celui-ci était assez porté aux envolées lyriques et que je déteste ça ! J'ai donc essayé de me concentrer sur l'histoire proprement dite, même si les multiples descriptions (de la ville, des états d'âme de Ferdinand ou autres) ne facilitaient pas ma lecture. Tout d'abord, je ne suis jamais arrivée à ressentir quoi que ce soit pour les personnages : j'ai trouvé Ferdinand geignard, Lorna trop belle pour être vraie et Clara complètement stéréotypée. Quant aux personnages secondaires, ils m'ont paru peu crédibles ou totalement clichés. L'aspect fantastique de l'histoire ne m'a pas dérangée et j'ai trouvé l'explication de la maladie de Clara plutôt originale et menée de façon relativement cohérente mais noyée sous un déluge poussif de sentiments et de descriptions inutiles. J'aurais probablement aimé voir cette histoire développée sous la forme d'une nouvelle mais là, j'ai trouvé il y avait 200 pages en trop ! Autant dire que je ne suis pas prête à relire cet auteur dans l'immédiat !
