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Critique de cathe
A l'occasion du bicentenaire de la mort de Napoléon, ces chroniques de Cavanna sont republiées.
Elles sont parues à l'origine dans Hara-Kiri en 1969, pour le bicentenaire de la naissance de l'Empereur.
On se doute que Cavanna n'est pas un fervent admirateur de Napoléon !
Et bien sûr il s'en donne à coeur joie pour le faire descendre de son piédestal en déconstruisant soigneusement la légende !
Napoléon devient ridicule, burlesque, pathétique même, et chaque épisode de sa légende est revue d'une plume féroce.
Très franchement j'ai trouvé que cet humour potache avait bien vieilli, mais cela fait passer un agréable moment en cette période de commémoration très officielle (encore qu'il y ait pas mal de voix discordantes…)
Mais je n'ai pas retrouvé l'excellent Cavanna que j'aimais dans « Les ritals » et « Les Russkoffs ».
Elles sont parues à l'origine dans Hara-Kiri en 1969, pour le bicentenaire de la naissance de l'Empereur.
On se doute que Cavanna n'est pas un fervent admirateur de Napoléon !
Et bien sûr il s'en donne à coeur joie pour le faire descendre de son piédestal en déconstruisant soigneusement la légende !
Napoléon devient ridicule, burlesque, pathétique même, et chaque épisode de sa légende est revue d'une plume féroce.
Très franchement j'ai trouvé que cet humour potache avait bien vieilli, mais cela fait passer un agréable moment en cette période de commémoration très officielle (encore qu'il y ait pas mal de voix discordantes…)
Mais je n'ai pas retrouvé l'excellent Cavanna que j'aimais dans « Les ritals » et « Les Russkoffs ».
