>
Critique de Marti94
Je me régale avec les livres-anniversaire sur Marguerite Duras. Laetitia Cénac signe «Marguerite Duras, l'écriture de la passion» en 2014 pour le centenaire de sa naissance le 04/04/1914 et les 30 ans de «L'amant», prix Goncourt 1984, édité à plusieurs millions d'exemplaires. Que des 4 ! J'adore car c'est mon chiffre préféré.
J'ai plusieurs beaux livres biographie de Marguerite Duras sortis à cette occasion et je me rends compte qu'ils sont tous différents. Je ne me lasse pas.
À part la couverture qui n'est pas très belle (c'est un détail), le contenu est vraiment très riche et ce livre est bien construit. Il suit pourtant la chronologie mais a la particularité d'intégrer une thématique ou un portrait à la fin de chaque chapitre. Ainsi il y a un sujet sur les hommes de sa vie, ses amours mais aussi ses amis comme Edgar Morin ou Michael Lonsdale.
De son enfance en Indochine au "look Duras" en passant par la place de l'écrit, du cinéma ou du théâtre dans son parcours, Laetitia Cénac nous fait traverser le 20e siècle avec celle qui est entrée dans la Pléiade après sa mort mais à qui cela aurait fait particulièrement plaisir puisque elle a écrit «Morte je peux encore écrire».
Ce qui m'a particulièrement plu dans cet ouvrage ce sont les belles illustrations, les photos d'archives dont un grand nombre que je ne connaissais pas, qui montre une femme vivante et souriante.
J'ai plusieurs beaux livres biographie de Marguerite Duras sortis à cette occasion et je me rends compte qu'ils sont tous différents. Je ne me lasse pas.
À part la couverture qui n'est pas très belle (c'est un détail), le contenu est vraiment très riche et ce livre est bien construit. Il suit pourtant la chronologie mais a la particularité d'intégrer une thématique ou un portrait à la fin de chaque chapitre. Ainsi il y a un sujet sur les hommes de sa vie, ses amours mais aussi ses amis comme Edgar Morin ou Michael Lonsdale.
De son enfance en Indochine au "look Duras" en passant par la place de l'écrit, du cinéma ou du théâtre dans son parcours, Laetitia Cénac nous fait traverser le 20e siècle avec celle qui est entrée dans la Pléiade après sa mort mais à qui cela aurait fait particulièrement plaisir puisque elle a écrit «Morte je peux encore écrire».
Ce qui m'a particulièrement plu dans cet ouvrage ce sont les belles illustrations, les photos d'archives dont un grand nombre que je ne connaissais pas, qui montre une femme vivante et souriante.
