J'ai découvert cette autrice lors d'une rencontre et j'ai adoré cette première lecture.
Ce récit policier n'est pas aussi innocent que l'on pourrait croire, dès les premières pages.
En effet,
Sophie Chabanel soulève le sujet du marketing dans l'art qui, comme elle le décrit très bien, est très dérangeant.
Le franc-parler du commissaire Romano, son humour, sa légèreté et à l'opposé son co-équipier coincé, prude, timide, équilibre cette coopération, et rendent son style fluide, percutant, contemporain.
Bref je me réjouis, qu'en l'attente d'une prochaine sortie littéraire, ses précédents livres m'attendent
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