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Critique de Montecristof
Dans la famille Chabouté je voudrais 'Mobydick' ou 'Terre neuvas' ou 'Tout seul' mais sûrement pas 'Les princesses...'
Y a plein d'autres titres que j'ai kiffés pour l'esthétique Chabouté qui colle à une ambiance un peu tendue, mais là, non.
Il a essayé de mélanger les genres on dirait, rien qu'en choisissant son titre foldingue.
Ça part assez fort comme dab, avec ce scénar d'un gusse qui s'enfuit d'un hosto. Il chope en auto-stop un couple qui fait la route en combi et le prend vaguement en otage, pour fuir le lobby du tabac dont il est sûr qu'il est la prochaine cible.
Quelques péripéties plus tard on est aussi largué que ce zombie frappadingue auto-stoppeur, qui vire de plus en plus parano.
Mais quand l'armée déboule et que le combi percute un paquebot, on se dit il a fumé la moquette Chabouté, on (enfin moi en tous cas) se contente d'apprécier l'habituelle virtuosité graphique sans plus rien ressentir, et en ce qui me concerne sans plus chercher à trouver un fil.
Le genre déconnant foutraque ça colle pas avec Chabouté, du moins pas pour moi, pas cette fois là. Désolé.
Y a plein d'autres titres que j'ai kiffés pour l'esthétique Chabouté qui colle à une ambiance un peu tendue, mais là, non.
Il a essayé de mélanger les genres on dirait, rien qu'en choisissant son titre foldingue.
Ça part assez fort comme dab, avec ce scénar d'un gusse qui s'enfuit d'un hosto. Il chope en auto-stop un couple qui fait la route en combi et le prend vaguement en otage, pour fuir le lobby du tabac dont il est sûr qu'il est la prochaine cible.
Quelques péripéties plus tard on est aussi largué que ce zombie frappadingue auto-stoppeur, qui vire de plus en plus parano.
Mais quand l'armée déboule et que le combi percute un paquebot, on se dit il a fumé la moquette Chabouté, on (enfin moi en tous cas) se contente d'apprécier l'habituelle virtuosité graphique sans plus rien ressentir, et en ce qui me concerne sans plus chercher à trouver un fil.
Le genre déconnant foutraque ça colle pas avec Chabouté, du moins pas pour moi, pas cette fois là. Désolé.
