S’il n’y a pas d’Oriental à proprement parler dans l’œuvre de Marguerite Duras, d’importants personnages, venus pour beaucoup d’entre eux de l’enfance indochinoise de l’auteur, sont mis en scène dans des territoires qui ne prennent pas ici le nom d’Orient mais appartiennent à sa géographie.
Remarquable est le contraste, dans l’œuvre de Marguerite Duras, entre la récurrence d’espaces asiatiques et la rareté de l’emploi du mot Orient. […]
La douleur dont il porte la mémoire pourrait bien avoir comme image emblématique le soleil couchant qui ouvre le film India Song.