Violette était libre ou paraissait l’être. Lui, le travail occupait dans sa vie toute la place, mais il était prêt à changer ça aussi, si c’était ce qu’elle voulait. À vrai dire, elle lui plaisait tant qu’il était disposé à se régler sur elle. Grand amour, amourette, liaison aussi longue, aussi brève qu’elle voudrait, il se portait preneur.
« (…) Un temps conforme à mes souvenirs de rentrée des classes : il faut que ça sente la feuille de marronnier infusée dans les flaques. (…) »
G.-O. CHÂTEAUREYNAUD, « Le Tout-Petit » (mai 1997) in La dernière génération de mortels, 2021, éditions Le beau jardin (p. 8).