Une nouvelle de 80 pages écrite à 4 mains sous format épistolaire mais sans qu'on puisse distinguer deux écritures (mon petit bémol mais la similitude des voix des personnages - leur différence est plus dans ce qui est raconté - sert aussi le propos, et puis peu importe qui a écrit quoi du moment que le résultat est bon). Une nouvelle de 80 pages qui prouve que la force des mots ne dépend pas de leur nombre, même si on peut avoir envie d'en savoir plus sur les personnages. Une nouvelle de 80 pages qui aborde la guerre par le biais de la petite histoire, celle qui fait que deux jeunes amis qui aimaient lire ensemble portent le poids des actes enfermés dans le non-dit.
Il me reste à continuer l'exploration de l'oeuvre d'
Antoine Choplin (après
le héron de Guernica et
La nuit tombée) et à découvrir celle de
Hubert Mingarelli.
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