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Critique de akcd


Gaspar s'isole quelques jours à Rome pour fuir un succès artistique étouffant. Féru d'échecs, il s'installe avec son plateau de jeu Campo de'Fiori, à deux pas de la statue de Giordano Bruno, un savant italien brûlé vif en 1600.

Marya est hongroise. La mort de son grand-père champion d'échec, dans les camps de la mort, l'amène à Rome à la recherche de l'ermite Vittorio, désormais centenaire.

Ces deux âmes ne pouvaient que s'affronter autour de l'échiquier, avant de mêler leurs pas dans les rues de Rome. Il fallait la poésie d'Antoine Choplin, pour entraîner le lecteur à leur suite. Et la pureté des sentiments pour que le charme opère, de la première à la dernière page.

Je n'ai pas été sans penser au Joueur d'échecs de Stefan Zweig (publié en 1943) en lisant la Partie italienne. Un champion, un tortionnaire, de la mémoire et de l'adresse. Pas de folie, certes, mais une histoire imbriquée dans une autre, la brièveté d'un récit, une conclusion sobre.
Lien : https://akarinthi.com/2023/0..
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