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Critique de lechristophe
Toujours dans ma relecture chronologique de l'oeuvre d'Agatha Christie, "Le train bleu" est l'élu du jour.
C'est une enquête d'Hercule Poirot particulière. Déjà, elle ne nous est pas narrée à la première personne par Hastings. Ensuite, elle se déroule presque exclusivement en France, sur la Côte d'Azur.
D'un côté, nous avons une fille unique, trop gâtée par son millionnaire américain de père, qui prend le Train Bleu pour rejoindre officiellement la Riviera avec tous ses bijoux dont un fabuleux rubis. A noter que le mari, un aristocrate anglais récemment sommé par son beau-père de divorcer pour cause de vie trop publiquement dissolue, emprunte le même train pour changer d'air. de l'autre, une trentenaire, ancienne dame de compagnie d'une vieille fille qui l'a couchée sur son testament, étourdie par sa nouvelle fortune, va rejoindre une vicomtesse de ses cousines au Cap-Martin par…le Train Bleu. Les deux femmes sympathisent lors du trajet et se confient sur leurs tourments. Peu après l'arrêt à Lyon, on s'aperçoit que l'Américaine a été étranglée, défigurée et dévalisée. Qui a fait le coup ? La domesticité ? le mari ? La nouvelle riche ? L'amant de la morte, un escroc notoire ? La maîtresse du mari, une danseuse entretenue ? Et comment les bijoux ont-ils pu disparaître ? Heureusement pour la police française, Hercule Poirot, (encore une fois) à la retraite empruntait le même train…
C'est à une enquête assez lente, je dois le dire, que nous convie Agatha Christie, dans les milieux selects de la Côte d'Azur, fréquentés par l'aristocratie anglaise de cette fin des années 20. Hercule Poirot y navigue à son aise, flagornant à qui mieux mieux, échafaudant des hypothèses qui se révéleront justes, et résolvant sous nos yeux ébahis dans un final grandiose l'énigme… dont je n'avais bien évidemment pas trouvé la solution.
C'est une enquête d'Hercule Poirot particulière. Déjà, elle ne nous est pas narrée à la première personne par Hastings. Ensuite, elle se déroule presque exclusivement en France, sur la Côte d'Azur.
D'un côté, nous avons une fille unique, trop gâtée par son millionnaire américain de père, qui prend le Train Bleu pour rejoindre officiellement la Riviera avec tous ses bijoux dont un fabuleux rubis. A noter que le mari, un aristocrate anglais récemment sommé par son beau-père de divorcer pour cause de vie trop publiquement dissolue, emprunte le même train pour changer d'air. de l'autre, une trentenaire, ancienne dame de compagnie d'une vieille fille qui l'a couchée sur son testament, étourdie par sa nouvelle fortune, va rejoindre une vicomtesse de ses cousines au Cap-Martin par…le Train Bleu. Les deux femmes sympathisent lors du trajet et se confient sur leurs tourments. Peu après l'arrêt à Lyon, on s'aperçoit que l'Américaine a été étranglée, défigurée et dévalisée. Qui a fait le coup ? La domesticité ? le mari ? La nouvelle riche ? L'amant de la morte, un escroc notoire ? La maîtresse du mari, une danseuse entretenue ? Et comment les bijoux ont-ils pu disparaître ? Heureusement pour la police française, Hercule Poirot, (encore une fois) à la retraite empruntait le même train…
C'est à une enquête assez lente, je dois le dire, que nous convie Agatha Christie, dans les milieux selects de la Côte d'Azur, fréquentés par l'aristocratie anglaise de cette fin des années 20. Hercule Poirot y navigue à son aise, flagornant à qui mieux mieux, échafaudant des hypothèses qui se révéleront justes, et résolvant sous nos yeux ébahis dans un final grandiose l'énigme… dont je n'avais bien évidemment pas trouvé la solution.
