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Critique de Luria


Il y a un terme à la mode. Feel good. Ne dites plus -roman girly- mais -feel good-. (je suspecte que ce dernier sera supplanté sous peu par le terme hygge) (les lectures qui font du bien se doivent être énoncées dans une langue étrangère) (le hype qwa)

Je cherchais donc un bouquin-confort. Et je dois dire qu'avec un Agatha Christie, j'ai peu de chance de me planter. Je voulais relire le roman où deux femmes vivent ensemble, chichement à la campagne, se font un peu courtiser (Agatha Christie+polar= un peu d'amour), sauf qu'une des coloc' est l'assassin et est démasquée presqu'avant de tuer sa copine. Vous voyez, vous ? Ben pas moi. Impossible de me rappeler du titre, alors j'ai tendu la main au hasard (ils sont tous alignés au même endroit) (pis la pièce était dans le noir d'façon) et en ai sorti celui-là.

Bingo.
Les sept cadrans est un tome que j'apprécie beaucoup. Tellement que je le connais quasi par coeur. Tellement que les dialogues quand on est un MouaJeSaaaaais sont truculents.
Tellement que je me suis accrochée aux descriptions des personnages, pour voir où/comment/quand (tout de suite!!) on était induits en erreur en première lecture.
J'ai toujours pensé qu'Agatha Christie était reine pour balader le lecteur. Ce livre en est la preuve. Même si en me promenant sur la toile, j'ai lu que certains avaient « prédit » mathématiquement qui était l'assassin au gré des indices ; capital de sympathie/antipathie, que l'auteur sème. Paraîtrait qu'elle n'était pas si originale.
Paraîtrait que ça me donne juste une excuse pour les relire et vérifier la théorie.

Comme si j'avais besoin d'une excuse...
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