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Critique de jmb33320
Jean-Luc Coatalem souffre depuis toujours de bougeotte aiguë. La perspective de passer, même une seule nuit, enfermé dans un musée est un défi pour lui. Mais il s'est pourtant laissé convaincre de participer à cet exercice, dont le fruit rejoindra les livres issus d'autres nuits blanches dans la collection "Ma nuit au musée" chez Stock.
La période de confinement Covid 19 se termine. Il a choisi le musée Guimet, plus accessible que d'autres plus lointains. Son histoire personnelle et certains souvenirs d'enfance s'accordent à ce lieu, dont j'ignorais qu'il était si imposant.
Une certaine fébrilité s'installe assez rapidement dans l'esprit de l'auteur. Il ne sera pourtant pas entièrement seul dans ces multiples salles et bâtiments. Il a prévu d'accompagner les vigiles dans leurs rondes et il est relié par talkie-walkie au PC sécurité si besoin.
Il est bien pourvu d'un lit de camp transportable, de deux lampes et d'un paquet de biscuits au chocolat. Et évidemment de carnets sur lesquels noter ses impressions ou déposer quelques croquis.
Se bousculent dans sa tête souvenirs d'enfance, voyages lointains, souvenirs de lectures. Pourtant on sent bien que l'auteur ne se laisse pas volontiers aller au lâcher-prise qu'imposerait cet exercice.
Je mentirais si j'écrivais que je n'ai pas trouvé d'intérêt à ce livre dans lequel Jean-Luc Coatalem revient sur les thèmes qui lui sont chers. Sont convoqués Victor Segalen, Paul Gauguin et bien d'autres... Des références parfois surprenantes (Tintin, la série "Le Prisonnier"...) se glissent dans ce texte.
Les heures ne passent pas vite ! Il est complètement soulagé lorsque l'aube de ce jour de juillet se lève vers cinq heures du matin. Et il est déjà sur les starting-blocks. Il n'est pas certain qu'il ait attendu le café et les croissants promis !
Je remercie les éditions Stock et NetGalley qui m'ont donné accès à l'édition numérique de cet ouvrage
#UnechambreàlhôtelMékong #NetGalleyFrancee.
La période de confinement Covid 19 se termine. Il a choisi le musée Guimet, plus accessible que d'autres plus lointains. Son histoire personnelle et certains souvenirs d'enfance s'accordent à ce lieu, dont j'ignorais qu'il était si imposant.
Une certaine fébrilité s'installe assez rapidement dans l'esprit de l'auteur. Il ne sera pourtant pas entièrement seul dans ces multiples salles et bâtiments. Il a prévu d'accompagner les vigiles dans leurs rondes et il est relié par talkie-walkie au PC sécurité si besoin.
Il est bien pourvu d'un lit de camp transportable, de deux lampes et d'un paquet de biscuits au chocolat. Et évidemment de carnets sur lesquels noter ses impressions ou déposer quelques croquis.
Se bousculent dans sa tête souvenirs d'enfance, voyages lointains, souvenirs de lectures. Pourtant on sent bien que l'auteur ne se laisse pas volontiers aller au lâcher-prise qu'imposerait cet exercice.
Je mentirais si j'écrivais que je n'ai pas trouvé d'intérêt à ce livre dans lequel Jean-Luc Coatalem revient sur les thèmes qui lui sont chers. Sont convoqués Victor Segalen, Paul Gauguin et bien d'autres... Des références parfois surprenantes (Tintin, la série "Le Prisonnier"...) se glissent dans ce texte.
Les heures ne passent pas vite ! Il est complètement soulagé lorsque l'aube de ce jour de juillet se lève vers cinq heures du matin. Et il est déjà sur les starting-blocks. Il n'est pas certain qu'il ait attendu le café et les croissants promis !
Je remercie les éditions Stock et NetGalley qui m'ont donné accès à l'édition numérique de cet ouvrage
#UnechambreàlhôtelMékong #NetGalleyFrancee.
