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Critique de IOANTIQUE
« Bienvenue dans mes ténèbres, j'y suis depuis un certain temps…
Oui, depuis trente ans. »
« Un temps court. Intense. Suspendu.
Des bouffées de bonheur dans la rivière de mes malheurs. »
Héloïse est un roman noir, écrit avec des larmes, de joies, de haine, d'amour, de tristesse…
D'un côté, le personnage éclate sous la lumière qui l'irradie de bonheur, de l'autre, l'Ombre maléfique qui la suit, la rend incapable d'aimer et donc invite le malheur tout le long de sa vie. La reine noire domine le pion blanc, sur l'échiquier de la destinée d'une fille dont l' histoire est plutôt moche selon elle.
Avec un style « mélodique », l'auteure avec des phrases courtes, incisives, percutantes vous emmène dans les méandres d'un esprit torturé, et extrêmement complexe, passant du blanc au noir, pour mieux « se », ou « vous » perdre ? Vous pouvez la plaindre pour les malheurs d'Héloïse ou au contraire vouloir la secouer pour son pessimiste et son acharnement à refuser d'être heureuse. Ce qui est sûr, c'est que vous risquez de refermer ce livre avec beaucoup plus de questions sur le destin de chaque individu. « le plus dangereux ennemi que tu puisses rencontrer sera toujours toi-même. » Friedrich Nietzsche, à méditer sur cette entrée en matière. Je note au passage un petit clin d'oeil au village de pêcheurs, Ambleteuse et aux personnages Heckel et Jeckel que nous retrouverons dans le second roman d'Ophélie COHEN « suspicion (s). » Que je vous conseille également.
Oui, depuis trente ans. »
« Un temps court. Intense. Suspendu.
Des bouffées de bonheur dans la rivière de mes malheurs. »
Héloïse est un roman noir, écrit avec des larmes, de joies, de haine, d'amour, de tristesse…
D'un côté, le personnage éclate sous la lumière qui l'irradie de bonheur, de l'autre, l'Ombre maléfique qui la suit, la rend incapable d'aimer et donc invite le malheur tout le long de sa vie. La reine noire domine le pion blanc, sur l'échiquier de la destinée d'une fille dont l' histoire est plutôt moche selon elle.
Avec un style « mélodique », l'auteure avec des phrases courtes, incisives, percutantes vous emmène dans les méandres d'un esprit torturé, et extrêmement complexe, passant du blanc au noir, pour mieux « se », ou « vous » perdre ? Vous pouvez la plaindre pour les malheurs d'Héloïse ou au contraire vouloir la secouer pour son pessimiste et son acharnement à refuser d'être heureuse. Ce qui est sûr, c'est que vous risquez de refermer ce livre avec beaucoup plus de questions sur le destin de chaque individu. « le plus dangereux ennemi que tu puisses rencontrer sera toujours toi-même. » Friedrich Nietzsche, à méditer sur cette entrée en matière. Je note au passage un petit clin d'oeil au village de pêcheurs, Ambleteuse et aux personnages Heckel et Jeckel que nous retrouverons dans le second roman d'Ophélie COHEN « suspicion (s). » Que je vous conseille également.
