Je suis enfin venue à bout de ce livre qui trainait depuis pluseurs semaines sur ma table de nuit.
Je suis sur un sentiment ambigu, car j'ai retrouvé dans
Solal tout ce qui m'avait enthousiasmée dans
Belle du Seigneur: le style de Cohen, son persiflage sur la bourgeoisie de l'entre-deux-guerres et l'antisémitisme de l'époque.
Mais cette fois-ci le machisme bien présent de l'auteur m'a vraiment déplu, et les déboires amoureux de
Solal m'ont laissée de glace. A relire peut-être, j'ai vraiment le sentiment d'être passée à côté de quelque chose.
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