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Critique de resogerath
Avec ce septième roman Sandrine Colette continue sa migration vers la littérature « blanche ». Moins sombre, quoique, ce nouveau roman continue à mettre la nature au premier plan.
Une histoire d'adoption, de chasse, de terreur entre la France et le Népal avec des ours et des tigres. Voilà de manière très succincte les ingrédients de cette intrigue qui pose la question de l'humanité, de l'animalité.
Et Sandrine se joue de nous, car elle sait qu'on commence à la connaître avec une intrigue qui ressemble au départ beaucoup à ce qu'elle a déjà produit. On commence d'ailleurs à se poser des questions : 7 au départ, combien à l'arrivé ? Qui le premier ? Mais c'est sans compter sur l'auteur qui sait et qui va très vite sortir du cadre habituel.
Première partie classique et passionnante avec cette traque et les réactions de tous les acteurs. Deuxième partie plus surprenante qui nous emmène ailleurs vers une autre bête.
Car au final, comme dans les autres romans se cache une bête.
Une histoire d'adoption, de chasse, de terreur entre la France et le Népal avec des ours et des tigres. Voilà de manière très succincte les ingrédients de cette intrigue qui pose la question de l'humanité, de l'animalité.
Et Sandrine se joue de nous, car elle sait qu'on commence à la connaître avec une intrigue qui ressemble au départ beaucoup à ce qu'elle a déjà produit. On commence d'ailleurs à se poser des questions : 7 au départ, combien à l'arrivé ? Qui le premier ? Mais c'est sans compter sur l'auteur qui sait et qui va très vite sortir du cadre habituel.
Première partie classique et passionnante avec cette traque et les réactions de tous les acteurs. Deuxième partie plus surprenante qui nous emmène ailleurs vers une autre bête.
Car au final, comme dans les autres romans se cache une bête.
