Comme
La Tresse,
Les Victorieuses se lit d'une traite, ou presque. Laetitia Combiani sait nous entraîner dans son intrigue, nous lier avec les personnages, qu'on ne peut plus lâcher jusqu'à la dernière page. En revanche, si son style est captivant, il souffre parfois de quelques lourdeurs, avec la répétition des prénoms, les phrases courtes... On aimerait parfois quelques ruptures dans le style. La vie de Blanche Peyron est tout juste survolée, on a l'impression que l'auteure est vraiment pressée par le temps, c'est un peu frustrant, on aurait aimé en savoir plus, et non pas se contenter d'un résumé de plusieurs dizaines d'années en deux phrases.
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