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Critique de Sallyrose
Harry Bosch est de retour !
Le héros récurrent de Michael Connelly est à la retraite (un peu forcée) alors que sa fille se prépare à intégrer l'université. La solitude et l'ennui semblent au bout du chemin.
C'est alors que son beau-frère, avocat de la défense, lui demande d'enquêter pour prouver que son client du moment est innocent du meurtre dont on l'accuse.
Grand dilemme pour ce flic du LAPD : il a servi la police pendant plusieurs décennies : travailler pour la défense ressemble à de la haute trahison. Mais si cet homme est innocent, cela signifie que le coupable est en liberté : inconcevable pour cet ancien flic épris de justice.
De fil en aiguille, Harry Bosch va faire des découvertes qui vont l'entraîner jusqu'à l'impensable.
Je pense avoir lu presque toutes les aventures de Harry Bosh mais il y a des années et des années de ça. Ce flic taciturne, au nom évocateur de Hyeronymus Bosch, qui écoute du jazz et qui aborde son métier avec tant d'implication et d'intégrité avait tout pour me séduire. Ses enquêtes le menaient souvent aux frontières de l'horreur et, à l'époque, j'aimais ça.
Et puis, la lassitude, d'autres héros, d'autres auteurs : je n'y ai plus pensé.
Quand j'ai eu la possibilité de lire ce dernier opus, un brin de nostalgie m'a envahit.
Le héros n'est pas si fatigué et l'enquête est un modèle du genre : détaillée, méthodique, le lecteur avance pas à pas avec le détective. La fin est sans surprise mais bien étayée. Et absolument pas d'horreur façon thriller gore : tant mieux, le goût m'en est passé depuis longtemps.
Bref, un polar qui tient la route et le lecteur en haleine mais sans effet de manche.
Merci aux Editions Calmann-Levy et Netgalley pour ces très agréables retrouvailles avec Harry Bosch.
Le héros récurrent de Michael Connelly est à la retraite (un peu forcée) alors que sa fille se prépare à intégrer l'université. La solitude et l'ennui semblent au bout du chemin.
C'est alors que son beau-frère, avocat de la défense, lui demande d'enquêter pour prouver que son client du moment est innocent du meurtre dont on l'accuse.
Grand dilemme pour ce flic du LAPD : il a servi la police pendant plusieurs décennies : travailler pour la défense ressemble à de la haute trahison. Mais si cet homme est innocent, cela signifie que le coupable est en liberté : inconcevable pour cet ancien flic épris de justice.
De fil en aiguille, Harry Bosch va faire des découvertes qui vont l'entraîner jusqu'à l'impensable.
Je pense avoir lu presque toutes les aventures de Harry Bosh mais il y a des années et des années de ça. Ce flic taciturne, au nom évocateur de Hyeronymus Bosch, qui écoute du jazz et qui aborde son métier avec tant d'implication et d'intégrité avait tout pour me séduire. Ses enquêtes le menaient souvent aux frontières de l'horreur et, à l'époque, j'aimais ça.
Et puis, la lassitude, d'autres héros, d'autres auteurs : je n'y ai plus pensé.
Quand j'ai eu la possibilité de lire ce dernier opus, un brin de nostalgie m'a envahit.
Le héros n'est pas si fatigué et l'enquête est un modèle du genre : détaillée, méthodique, le lecteur avance pas à pas avec le détective. La fin est sans surprise mais bien étayée. Et absolument pas d'horreur façon thriller gore : tant mieux, le goût m'en est passé depuis longtemps.
Bref, un polar qui tient la route et le lecteur en haleine mais sans effet de manche.
Merci aux Editions Calmann-Levy et Netgalley pour ces très agréables retrouvailles avec Harry Bosch.
