Citations sur Et puis, Paulette... (170)
Elle aurait voulu qu'elle reste plus longtemps, la petite Muriel, ça lui mettait du baume au cœur, c'était sa bouffée d'oxygène, ses fraises à la crème en hiver.
Une couille dans le potage, c'est une erreur
Deux, c'est une recette.
«Il est tellement convaincu que les mots trahissent la pensée qu’il préférait fonctionner à l’instinct et lui laisser faire le boulot. Tout en admettant, avec lucidité, qu’il lui a souvent joué des sales tours, ce con-là! Une chose entraînant l’autre, sans le vouloir, il a peur de provoquer un trop-plein d’émotion, un épanchement de larmes ou un dévoilement de secret.» (page 18)
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles-eee…
Au cadran qui marque les heures de la vie-eee…
Nous n'aurions pas la triste appréhension
D'entendre l'heure de la séparation
Après avoir passé toute une vie-eee
À nous chérir sans aucune jalousie-eee
Le coeur bien gros on n'devrait pas penser
Qu'un jour, hélas, il faudra nous quitter
Vivons d'espoir, à quoi bon s'faire tant d'bile
Puisqu'on n'peut pas arrêter les aiguilles.
La chanson citée page 206 est Arrêter les aiguilles
Paroles: P. Briollet - P. Dalbret
Musique: Paul Dalbret
Interprète: Berthe Sylva (1937)
Muriel a dit: Paulette. et en deuxième, Lucie.
Le prénom de sa mère.
ça vient du latin et ça veut dire: lumières.
Entendez-vous ces chants
Doux et charmants?
Bateaux de fleurs,
Où les couples en dansant
Font des serments…
La chanson citée page 187 est Nuits de Chine parole d’Ernest Dumont
-Très cher Cornélius. Serais-tu d'accord pour accompagner ces jeunes gens chez leur grand-père?...
L'âne prend les morceaux délicatement, les croque en secouant la tête.
-Ah! je suis contente que tu dises oui. Merci, Cornélius chéri.
Les enfants se regardent , bluffés; Ils ne savaient pas que les ânes comprenaient aussi bien les mots.
...peu de temps après la mort d'Hortense, Simone a commencé à perdre de l'intérêt pour ce qui l'entourait. Mais Guy veillait. Il a tout de suite repéré les petits détails qui ne trompent pas.
"Peut-être qu’à force de ne plus se voir, on finit par s’oublier."
Il n'avait que 8 ans, mais il avait déjà essuyé quelques grosses déceptions dans sa vie. Il se méfiait, sachant par expérience que les adultes étaient capables de tout. De changer d'avis sans prévenir, de revenir sur leurs paroles sans donner de raisons, d'arnaquer, d'empapaouter, d'entourlouper les petits, pas forcément méchamment, c'est vrai, mais comme si c'était une chose normale. en toute impunité et sans remords.