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Critique de collectifpolar


Une lecture commune sur Collectif Polar
Les ressentis

Miss Aline : Bonsoir…. Pouvez-vous nous délivrer un premier ressenti global à cette fin de lecture… merci.

Nath : Premier ressenti global : je m'attendais à encore plus sombre…

Sophie Collette : Pas le plus dur que j'ai lu 😄

Frederic Fontes : Déroutant et fascinant à la fois. Comme Nath et Sophie, j'ai lu du Chattam ou du Gilles Caillot bien plus cradingue. Mais ici, si certains passages sont assez hard, je trouve que c'est bien fait. Une manière de nous montrer le monde sans filtres, comme le voit le héros du livre.
Les scènes les plus troublantes pour moi, ce sont celles avec les caleçons sales du tueur, qui font office de trophées, c'est assez dégueulasse !
J'ai trouvé que ça digresse par moment, mais sinon, c'est assez efficace niveau écriture, je viens de me procurer les autres romans de la série.
Par contre, je n'ai rien compris à la scène finale, où on tente de nous expliquer avec les photos ce que le tueur est en train de faire avec le fil de fer et la roue de vélo. Mais bon, peut-être que c'est aussi bien que je ne comprenne pas comment fonctionne sa machine de torture…
Je regrette le fait que les points de vue n'alternent pas temps que ça entre les deux protagonistes. On marche finalement rarement dans les chaussures de sport du tueur.
C'est quand même une enquête assez hallucinante, avec un enquêteur en bout de route, qui fait passer le Andy Sipowicz de la première heure pour un enfant de coeur !
Donc je retiendrai cette histoire de filtres, comme l'objectif du photographe qui mitraille le tueur chez lui. C'est parfaitement à l'image du roman. Pas de filtres, grosses résolutions pour ne perdre aucun détail. Quelques photos floues parfois, qui permettent à l'observateur de s'offrir quelques moments lyriques ou d'introspections. Et le reste de la pellicule qui nous balance à la tronche la triste réalité de cet univers.
Et puis c'est aussi une drôle histoire d'amour…

Ge : Merci Mister Fredo pour ce beau debrief

Thierry Gasparik : Bonjour les amis, désolé de ne pas avoir donné mon avis plus tôt, un peu bousculé par ma chimio!! j'ai lu ce livre il y a quelques semaines déjà, et il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, trop de longueur à mon gout, coté « dark » j'ai lu bien pire, mais malgré tout je me suis un peu attaché au « flic » et à sa personnalité, une fin un peu bâclée et oui pas tout compris sur la machine de torture du tueur, il me faudra trouver un autre ouvrage de cet auteur pour confirmer ou infirmer mon sentiment, bonne journée à toutes et toutes

Sophie Collette : Je suis d'accord avec toi Thierry, le flic est attachant, j'ai l'impression que c'est un peu une surenchère les scènes pipi caca 💩 lol pour moi cela n'apporte rien, il y avait beaucoup de longueur dans les premières pages

Ge : Intéressant votre point de vue messieurs dames.

Ellen Ripley : Bonsoir tout le monde, désolée pour le retard de ma réponse. Et c'est une réponse que je vais faire en toute neutralité, c'est à dire sans lire les retours de qui que ce soit. J'ai mis beaucoup de temps à lire ce livre. Besoin de digérer sans doute les pages absorbées avec difficulté. Je me suis plusieurs fois posée la question de la complaisance de R. Cook dans ce texte, et puis ensuite celle de son personnage de flic. J'ai eu des moments de grande révolte, j'ai plusieurs fois refusé de m'y remettre. Il y a même eu un moment où je me suis revue en train de m'engueuler avec mon père, qui était un grand fan des films de vengeurs de la fin des années 1970, les Bronson notamment. Je trouvais ça facho à mort, cette vision de la victime comme saint et martyr pour la vengeance de qui il faut tout brûler. Dora m'est donc souvent apparu comme ça et c'est ça qui m'a permis de finir le bouquin dans de bonnes conditions intellectuelles. Comment Cook s'inflige ça, comment son héros/narrateur s'inflige ça et comment nous, lectrices et lecteurs on s'inflige ça. du coup, la question s'est portée automatiquement sur la grosse production aujourd'hui des thrillers à base de tueurs en série charmant et très sexy, super intelligents, cultivés, etc. Quand on lit Dora, on a tout l'inverse de ça. On a à faire à un dingue qui se mutile, on est dans un truc qui parle de la folie et des laisser pour compte, on a une peinture sociale tant du côté de la police en manque de moyens que de celui des malades en manque d'hôpitaux. Bref, on a un roman noir un vrai qui nous met mal et pas juste un truc qu'on lit avec une main moitié fermée devant les yeux parce que youhou, c'est trop flippant. Je ne peux pas dire que j'ai aimé ce roman parce qu'on ne peut pas dire que ce roman est « aimable ». J'en ai chié et je ne le regrette pas. Ça fait deux mois que je l'ai refermé définitivement, je n'y reviendrai plus, mais au moins, j'y pense encore. J'espère que je n'ai pas été trop longue. Ah ! J'oublie un truc qui m'a fasciné et que je n'avais jamais vu ailleurs : le narrateur qui parle à la première personne, qui est l'enquêteur, qui cherche le tueur et qui passe par sa tête comme s'il en était le double. Ça, ça m'a fasciné. Amicalement. Ellen.
Nath : Voilà un sacré retour ! Il y a peut-être une question de génération, effectivement, dans ce ressenti, sachant que ce livre date (si je ne me trompe) de 1990. Moi ce qui m'a le plus dérangée est finalement ce super pouvoir de flic qui fait un peu ce qu'il veut. Il m'a profondément énervée car sous ses airs de chevalier vengeur me semblait se cacher un flic à l'ego démesuré qui traite tout le monde comme de la merde. Sinon, point de vue du détraqué ou de la violence, rien qui me choque (après avoir lu « le manufacturier », il devient difficile d'être choqué !) mais j'imagine que ça ne devait pas être le cas au moment de sa sortie ! En soi, j'ai aimé l'intrigue mais j'ai détesté le personnage du flic !

Ge : Voilà qui est intriguant Mesdames….

Ellen Ripley : Merci pour la question de génération, Nath. S'il faut attendre un énième thriller sur les boucheries serbes – même pas étudiées par Koping pour ce qu'elles furent vraiment pendant le conflit et ensuite – pour juger de la violence d'un roman, alors la période actuelle est effectivement à la surenchère. Et la génération contemporaine de ses lecteurs ne serait donc plus que dans cette attente ? Mais je dois avoir atteint un âge où je ne pige plus grand-chose. Quant au flic de Cook, il n'a pas plus de super pouvoir que ceux qui rivalisent avec l'intelligence des serials killer d'aujourd'hui. Ça peut faire débat. Bonne journée. Ellen

Nath : Quand je disais sacré retour, c'était dans un sens positif (j'ai peur que ça n'ai pas été pris comme tel) et question de génération dans la manière de voir les victimes tant par les cinéastes que les auteurs et effectivement, je constatais aussi que maintenant, les tueurs en série sont plutôt dépeint comme tu le décris avec justesse. Concernant Köping, pour avoir échangé avec lui, il me semblait pourtant qu'il s'était beaucoup renseigné, il a même avoué avoir à plusieurs reprises été obligé de faire un break de quelques jours dans ces recherches afin de sortir un peu de cette horreur historique.
Quand je parle du comportement du flic qui m'a un peu dérangée, c'est sa manière de faire fi du protocole, effectivement, maintenant on croise plutôt des flics entraînés au profilage ou bardé de technologie, d'où encore une question d'époque sans doute où il fallait avoir du bagou et y aller parfois au bluff ou à l'instinct pour obtenir des aveux sans toutes les aides technologiques actuelles…
Après, mon ressenti du flic est tout personnel. Quand je croise des flics un peu en dehors des clous, j'aime bien que leur caractère détestable soit par exemple contrebalancé par une bonne dose d'humour, mais encore une fois, c'est personnel. Désolée si j'ai froissé, ce n'était pas le but, ni non plus d'évaluer le seuil de violence par rapport à une « attente ».

Ge : C'est comme cela que je l'avais aussi compris Nath. La question générationnel, c'est pas la problème de le lire jeune ou plus vieux non c'est pour la date où le livre a été écrit, pour l'époque qu'il décrit et aussi pour le propos qu'il véhicule. Il a été dit à propos de J'étais Dora Suarez, que c'était le chef-d'oeuvre de Robin Cook et surtout que ce livre a profondément marqué le genre. C'est en cela que c'est générationnel !
Comme toi, Nath, j'ai trouvé le flic un peu borderline, obsédé par ce crime et la traque du meurtrier. Dire qu'il est bourru est un doux euphémisme, il est totalement sec, aride, fermé aux autres je dirais. Un vrai solitaire, cynique, et désillusionné. C'est surtout un inspecteur sans nom, et pourtant il ressort une part d'humanité voir d'humanisme de lui et ça pour moi ça a été assez déstabilisant.

Miss Aline : Merci pour vos retours. Il en ressort que l'idée du noir est subjective/ propre à chacun. Que manque-t-il à Dora pour le faire basculer vers le noir ? Selon vous que doit-on trouver comme scènes, protagonistes, etc. dans un véritable roman noir ?

Nath : Je pense qu'il n'y a pas forcément de code, parfois un roman sans la moindre violence explicite est vraiment noir, je pense notamment à « Écorces Vives », très sombre mais uniquement avec des sous-entendus. Ici, on est finalement sur quelque chose de plus classique avec un policier qui pourchasse un monstre.

Thierry Gasparik : Bonjour, je suis d'accord avec toi Nath, souvent trop de scènes violente, nuisent au roman, la suggestion est pour moi à titre perso le chemin vers le noir le plus direct car laissant place à l'imaginaire !
Sophie Collette : Je ne suis pas spécialiste mais pour moi il a le code du roman noir, cela représente bien la société, sa noirceur, ses bas-fonds, le côté désespéré des protagonistes, une ambiance lourde et malsaine…enfin c'est mon avis

Ge : Et tous les avis sont recevables. Et comme le dis Jean-Bernard Pouy dans Une brève histoire du roman noir,( Éditions Jean-Claude Béhar, 2009) , le polar regroupe au moins quatre sous-genres : «le roman à énigme, le roman policier, le roman d'angoisse (ou criminel ou thriller), et le quatrième, souvent transversal, le roman noir» Et pour citer un autre auteur que j'admire Jean Patrick Machette dans ces Chroniques où il aborde l'histoire, la théorie et la critique du roman noir. «Je décrète que polar ne signifie aucunement »roman policier ». Polar signifie roman noir violent. Tandis que le roman policier à énigme de l'école anglaise voit le mal dans la nature humaine mauvaise, le polar voit le mal dans l'organisation sociale transitoire. le polar cause d'un monde déséquilibré, donc labile, appelé donc à tomber et à passer. le polar est la littérature de la crise»
Pour moi le polar part d'un crime ou d'un délit et ensuite survient le processus de son élucidation. le roman noir lui n'est pas forcément une enquête, il se sert du prétexte de la transgression de l'ordre pour dévoiler les failles de notre société. le roman policier lui rétablie l'ordre établi, il y a une espèce de morale, un crime est commis, le coupable est puni. le roman noir lui ne s'attache pas à retrouver l'ordre établi, non juste il montre le dérèglement de celui-ci !
Pour reprendre Manchette « le bon roman noir est un roman social, un roman de critique sociale, qui prend pour anecdote des histoires de crimes »
Je dirai que le roman noir est l'analyse de la réalité d'une société criminogène. Bon…Non là je vais peut-être un peu loin ! ???

Miss Aline : Qu'est-ce qui vous attire dans la lecture du noir ?

Sophie Collette : Je suis plus fan de thrillers que de roman noir, pour moi le roman noir reste un reflet sombre de notre société, sombre dans les lieux, les personnages, les interactions, on a l'impression qu'il n'y a plus d'espoirs, c'est ma vision du roman noir

Nath : Dans mon cas, j'aime autant les thrillers que les polars, mais ce que j'apprécie surtout, c'est que souvent y sont abordés des thèmes actuels, sociétaux ou historiques. C'est cet aspect que j'aime le plus. Ça me semble aussi souvent des romans avec des personnages ni blanc ni noir, plus proche de la réalité de l'humain que ne peuvent l'être, à mes yeux bien sûr, les autres romans.

Frederic Fontes : Qu'est-ce qui vous attire dans la lecture du noir ?
C'est l'ingéniosité que va devoir développer le héros, avec un champ d'actions limitées, pour mettre la main sur un alter-ego lui aussi ingénieux à sa manière, qui croit qu'il peut faire ce qu'il veut.
C'est l'importance des détails et des traces, de ce qui est dit et tue, ce qui est visible et invisible.
C'est l'affrontement entre celui qui canalise, et celui qui déchaine.
C'est le lecteur qui prend la place de l'observateur et qui comme lui, s'imprègne des détails de la sombre histoire à laquelle il est confronté.
Ce qui me plait dans le noir, c'est autant l'ombre que ce qui la génère.
C'est la capacité d'un auteur à jouer entre la vérité crue, et la capacité à suggérer. J'avoue que je préfère largement la suggestion, qui est un exercice bien plus difficile.
C'est l'art du romancier à faire ressortir l'humanité de ses personnages face aux scènes sordides auxquelles ils sont confrontés.
Dora nous confronte un peu à ça.

Ge : Je n'aurai pas dit mieux. Merci pour vos réponses. Et voici Ludivine qui nous rejoint.
Vous pouvez aussi exposer votre point de vue par rapport aux réponses déjà apportées par les autres participants. le tout est de rester cordiaux. Chacun a le droit à son avis propre. Mais c'est dans l'échange que nous aurions le plus de change de comprendre vos points de vue.
Alors m'hésitez pas à reprendre ou à compléter et surtout à participer. Et bienvenue @Ludivine. Et aussi @Chantal si tu as eu le temps de finir le livre, ton avis nous serait aussi très précieux. 🙂

Sophie Collette : Bonjour à tous. C'est un très beau projet qui permet de découvrir un genre littéraire plus spécifique, cela nous permet aussi de donner nos impressions, seul petit bémol à mon niveau, j'aurais dû attendre, j'ai fait un aussitôt reçu aussitôt lu, donc cela date. Lol
Pour moi c'est du roman noir, même si je pense que l'on peut toujours trouver plus noir, mais comme disait un célèbre chanteur Belge🤣😉, noir c'est noir il n'y a plus d'espoir.
Pour avoir un roman noir je pense qu'il faut du pessimisme, de la violence, une vision négative de la société, une ambiance lourde pesante malaisante, bref pas de rayon de soleil à l'horizon.
Je me suis rendu compte que ce n'est pas un genre qui m'attire, je préfère le policier à énigme ou plus psychologique…

Geneviève : Merci Sophie, intéressant ce que tu dis là, le roman noir, le roman du désespoir. Moi j'aurai tendance à dire que noir rime avec miroir. Celui de la société qu'il décrit. Je le ferai aussi rimer avec mémoire, car comme le disait plus haut Nath, il est générationnel et par là marqueur de son temps.

Ludivine Campbell : Bonsoir tout le monde ! 🙂 Désolée pour mon arrivée tardive dans le groupe, je m'étais perdue en chemin. 😁 J'espère que vous allez tous, bien.
Vous avez déjà dit pas mal de choses sur le roman, alors je ne vais pas en rajouter beaucoup plus je crois. Mais dans l'ensemble, je suis d'accord avec Sophie sur le fait qu'il y a une surenchère dans les scènes scato, ce n'est vraiment pas un aspect du roman qui m'a attirée… Et comme Thierry, je n'ai pas tout saisi non plus dans l'explication qui été donnée avec le rayon de vélo/objet de torture dans les dernières scènes. Pourtant j'ai relu le passage pour être sûre de bien saisir mais j'ai trouvé l'explication confuse. Bon, j'ai saisi l'idée, c'est déjà ça hihi !
Après je rejoins Nath, je n'ai vraiment adhéré à l'esprit du flic non plus. Dabs l'ensemble j'ai trouvé les flics très bourrus. Il y avait beaucoup de démonstration de testostérone, ce n'était pas très fin, j'ai trouvé. Bon, pour résumé, je n'ai pas vraiment accroché au roman 😇
Mais malgré tout, je suis contente de participer à ce grand projet, et d'avoir découvert ce roman 🙂
Après dans l'histoire, il y avait des sujets de société qui devait être moins publié à l'époque peut-être et qui en font un sujet intéressant. L'auteur parle de la prostitution et de ce qu'on fait subir aux filles dans les « maisons », du sida, et aussi du fait que la justice passe un peu à l'oubliette cette partie de la société.

Miss Aline : Que doit comporter (ou pas) un roman noir pour toi ?

Ludivine Campbell : Bonne question, j'essaie de trouver la réponse adéquate 🤭
Une enquête, un crime ou plusieurs (sans forcément avoir l'avalanche de glauque), des scènes d'angoisse, et un sujet de société. Un crime ou une enquête qui dénoncerait un problème dans notre société. Je pense que J'étais Dora Suarez répond bien au genre du noir, mais l'écriture n'était pas faite pour moi malheureusement.

Ge : Et toi, chère Chantal, nous ne t'avons pas entendu .
Pourrais-tu même en quelques phrases me dire ce que tu as pensé de « J'étais Dora Suarez de Robin Cook »

Chantal : Oh la la … à ma grande honte, je n'ai pas pu terminer la lecture de ce roman . Je n'ai pas réussi à entrer dans le récit, ça m'a paru déprimant à souhait et je n'étais pas dans la disposition adéquate….
Je suis désolée. Je suis sans doute passée à côté d'un bon roman, mais parfois, impossible de rentrer dans l'histoire. J'ai eu la même réaction avec un roman de Karine Giebel …. de même, j'ai dû m'y reprendre à 2 ou3 fois pour lire « Voyage au bout de la nuit ». Mais j'étais bien plus jeune ! Une fois lu, c'est devenu un de mes titres préférés. Alors, je re-essaierai Dora Suarez, même si c'est trop tard pour toi et pour cette fois et cette lecture commune ! J'espère que tu me pardonnes…

Ge : Chantal, pas de soucis, et ta réponse me va parfaitement, ça fait partie du jeu, parfois un livre, un auteur nous échappe, il n'est pas fait pour nous ou comme tu le dis si bien ce n'est sans doute pas le bon timing, pas le bon moment, pas dans notre humeur du moment. C'est comme cela, il faut savoir l'accepter.
Et puis, Aline si tu le permets, pour clore cette lecture commune j'aimerai vous donner à lire quelques citations qui ont retenues mon attention.

Miss Aline : Oui, bonne idée, j'avais demandé il me semble de souligner les passages qui vous qui ont pu vous heurter vous blesser ou vous mettre mal à l'aise.

Ge : Alors je vais peut-être te décevoir mais c'est plus des citations qui illustre mon propos :
« – Oui ? fis-je.
La voix annonça, comme si je n'avais jamais été absent :
– Voilà, c'est fait. Vous êtes réintégrez dans la Police. […]
– Rien n'est fait, dis-je. Il y a l'affaire Fox, la commission de discipline, sans oublier tous les dégâts que je peux provoquer quand on essaie de me faire travailler en équipe avec une bande de connards.
-Tout est arrangé ; l'affaire Fox est oubliée parce que je suis à court de personnel.
– Vous faites tout pour me donner le sentiment qu'on tient à me revoir.
– Personne ne tient à vous revoir, précisa la Voix. Mais, moi, j'ai besoin de vous »
« – Vous êtes un type épouvantable, dit Jollo. Ce n'est vraim
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