Plus qu’une chambre à remplir et le travail sera fini, les camions s’en iront ; il ne restera qu’un fantôme et une équipe d’entretien. La forêt pardonnera ces affronts, ces trous creusés, ce remue-ménage ; la forêt pardonnera et abandonnera. Ceux qu’on avait dépossédés reviendront réclamer leur territoire perdu. D’abord les oiseaux, puis les lapins, les écureuils, les renards, les rats, les hermines, les taupes, les blaireaux. La communauté silencieuse des bêtes des bois.
Vous êtes une galatée de confection et moi un Pygmalion démodé.