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Critique de Morphil


Dix huit balais et des scories, j'ai dans ma chambre un poster de Peter Towshend fracassant sa guitare, un de Johnny Rotten hurlant ça rage, plein de vrais fausses publicités de Hara Kiri et ... au dessus du lit Che Guevara. Je viens de claquer la porte d'amnistie internationale, ils sont trop mous, il faut agir ! on est pas sérieux quand on a dix sept ans (Rimbaud), à dix huit pas plus. D'ailleurs, on ne se documente pas vraiment, on croit comme certain croit en un être suprême. Avec quelques noms, quelques phrases, on va changer le monde. J'ai attendu encore dix ans avant de creuser un peu le mythe avec ce livre. Je croyais encore à l'utopie, j'y crois encore d'une certaine façon. Ce sont-elles qui nous font avancer. Elles sont à l'origine du train, de la photo, du cinéma, de l'avion, liste non exhaustive, impossible...
J'ai beaucoup appris sur celui qui faisait parti de mon Olympe adolescente avec ce livre qui a une qualité majeure : celle du recul.
Hasta siempre la victoria
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