Une
Baby Farmer est une femme qui accueille chez elle des bébés ou enfants moyennant finance. Or ces bébés sont rejetés ou cachés par les familles de mère célibataire. Cette pratique n'est pas interdite en 1890 mais elle n'est pas vue d'un bon oeil non plus !
Dès le début la lecture me semble froide et sans saveur, le sujet n'est pas des plus joyeux. Cependant, c'est la plume de l'auteur qui ne retranscrit pas l'histoire avec une once de sentiment.
Nous suivons l'investigation de l'auteur, comment il en est venu à choisir cette femme comme sujet, son futur départ pour la Nouvelle Zélande, ses prises de contacts avec différents interlocuteurs connaissant une partie de l'histoire de la
baby Farmer.
Ma lecture n'est pas du tout extasiante, je finis presque par lire en diagonale tellement c'est soporifique. L'histoire centrale de Minnie Dean est survolée et décousue.
Je ne voie pas l'intérêt de ce livre, nous voulons l'histoire de Minnie la
baby Farmer condamnée à mort et non celle de l'auteur et de ses nombreuses comparaisons inintéressantes !
La couverture est pour moi mensongère, il n'aurait pas fallu mettre Une
baby Farmer des années 1890 mais l'auteur devant la tombe de Minnie, j'aurai compris que c'est son histoire à lui tel un documentaire lassant auquel je me serai attendu donc je n'aurai pas acheté ce livre.
Je ne recommande pas ce livre que pour finir je ne terminerai pas puisque c'est un calvaire à lire. Sans aucun intérêt !