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Critique de Janelle2
Et voilà enfin le dernier tome des aventures d'Ophélie, celui qui apporte les réponses à toutes nos interrogations sur ce monde d'Arches si étrange, sur l'identité de l'Autre, sur le rôle d'Eulalie.
J'avais tellement hâte de connaitre le fin mot de l'histoire que je ne me suis pas attardée sur tous les détails et que parfois certains éléments en référence avec les précédents tomes m'échappaient. J'ai mis ce point sur le fait que ma lecture des 4 volumes s'est étalée sur 5 ans. Je pense qu'il faudra que je relise l'ensemble une seconde fois.
J'éprouve de la déception parce que les choix de l'auteure ne correspondent pas à mes attentes. Pour autant Christelle Dabos n'a jamais fait dans la facilité. Loin des héroïnes belles et musclées, elle nous propose une petite maladroite, binoclarde, et pourtant douée d'une volonté de fer. Cette approche nous rend Ophélie si proche, si réelle alors même que son monde est en apparence si loin du notre !
Tout comme la vie réelle n'est pas tendre, celle d'Ophélie n'est pas épargnée par la souffrance et les changements qui l'obligent à définir ses priorités et supporter l'impondérable sans lâcher son objectif. Les deux volontés de Thorn et de sa femme ont déjà fait des miracles, alors je ne doute pas qu'elles ne triomphent du nouveau défi qui clôture la tétralogie.
Au final, j'ai adoré cette série, dernier tome compris, pour ses côtés loufoques, plus profonds qu'il n'y parait, non consensuels, riche, parfois alambiqué, mais porteur d'espoir avec la conviction qu'un petit bout de femme, un grand escogriffe rigide et quelques alliés peuvent changer le monde.
J'avais tellement hâte de connaitre le fin mot de l'histoire que je ne me suis pas attardée sur tous les détails et que parfois certains éléments en référence avec les précédents tomes m'échappaient. J'ai mis ce point sur le fait que ma lecture des 4 volumes s'est étalée sur 5 ans. Je pense qu'il faudra que je relise l'ensemble une seconde fois.
J'éprouve de la déception parce que les choix de l'auteure ne correspondent pas à mes attentes. Pour autant Christelle Dabos n'a jamais fait dans la facilité. Loin des héroïnes belles et musclées, elle nous propose une petite maladroite, binoclarde, et pourtant douée d'une volonté de fer. Cette approche nous rend Ophélie si proche, si réelle alors même que son monde est en apparence si loin du notre !
Tout comme la vie réelle n'est pas tendre, celle d'Ophélie n'est pas épargnée par la souffrance et les changements qui l'obligent à définir ses priorités et supporter l'impondérable sans lâcher son objectif. Les deux volontés de Thorn et de sa femme ont déjà fait des miracles, alors je ne doute pas qu'elles ne triomphent du nouveau défi qui clôture la tétralogie.
Au final, j'ai adoré cette série, dernier tome compris, pour ses côtés loufoques, plus profonds qu'il n'y parait, non consensuels, riche, parfois alambiqué, mais porteur d'espoir avec la conviction qu'un petit bout de femme, un grand escogriffe rigide et quelques alliés peuvent changer le monde.
