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Critique de lecassin


Le p'tit San-Antonio du mois…
Je sais… Y'en a déjà eu un de « p'tit San-Antonio du mois », en mars…
Mais y'en avait pas eu en février, alors…

« C'est le zonzon feutré de l'aspirateur de Félicie qui me réveille… Ou du moins c'est ce bruit là que j'entends en sortant du tunnel. le temps de compter jusqu'à un, très lentement, et voici que se déchaîne dans ma tronche la plus terrible gueule de bois homologuée depuis que Noé inventa le picrate. »
Le ton est donné. San-Antonio se remet péniblement de « l'arrosage » , la veille, de la promotion de Bérurier quand Pinaud arrive pour convoquer le commissaire chez le Boss ; urgent.
Le Boss, de mauvaise humeur :
« - Vous vous êtes enivré ?
Tout de suite les mots qui fâchent… », on dirait du Audiard, plus tard…

Mais revenons à nos moutons : une mission délicate où il s'agira d'éliminer un dénommé Vlefta, un gros ponte du réseau Mohari qui fournit des armes aux pays arabes ; dès son arrivée en Suisse. Départ immédiat…

On croise Pinaud, on entend parler de Bérurier, mais ce sera tout. Les deux faire-valoir du commissaire n'ont aucun rôle dans l'action.
Un petit San-Antonio.
Certes, la lecture en est aisée (deux bonnes heures), mais on reste un peu sur sa faim quand on connaît les suivants : cinq personnages principaux (a tout casser, y compris San-A.), une petite intrigue gentillette, une fin un peu plus compliquée qu'on pouvait le croire au début…
Bref. C'est gentil, mais ce n'est pas encore un vrai grand San-Antonio, malgré les notes en bas de page, nombreuses, qui font leur apparition ici et qui se systématiseront plus tard…
Une récréation avant d'attaquer du plus épais…dans le volume et dans le texte.

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