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Critique de alberthenri


Paru en 1969 (année érotique !) dans une édition reliée sous jaquette illustrée par Dubout, ces Vacances sont une belle occasion de faire travailler ses zygomatiques !

San-Antonio embarque pour une croisière à bord du Mer d'Alors (oui, je sais…) accompagné du couple Bérurier de leur nièce Marie-Marie et de Monsieur Félix un professeur doté d'un organe remarquable (et bien sûr, il n'est pas question de sa voix !)

Comme souvent dans les romans de Dard de la série San-Antonio, l'intrigue abracadabrantesque n'est que prétexte à déconnades..!

Toute une galerie de frappadingues s'agite sur le bateau de croisière, pour le plus grand plaisir du lecteur.
Je me répète (si ! Je l'ai déjà écris), mais la période la plus faste pour les San-Antonio, et en outre ma préférée, est celle située entre la fin des années soixante et le milieu des années soixante-dix, ici, nous y sommes pile !

Bien entendu, les illustrations de Dubout (sont-elles encore présentes dans les rééditions récentes ?) sont un plus très appréciable…

Pour conclure, mon attention a été retenue par la citation de L.F Céline en page de garde : "Je ne me réjouis que dans le grotesque, aux confins de la mort".

Or, il y a dans ce roman, une scène qui rappelle celle de la traversée de la Manche dans "Mort à crédit" (quand tout le monde se dégueule dessus !), je me m'avance pas beaucoup en disant que l'on peut y voir un hommage en forme de clin d'oeil de Dard à l'un de ses maîtres...
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