Quand au fond, je demande qu'on ne demande pas si ces histoires sont "vraies" !
Qu'on veuille bien plutôt, au-delà des anecdotes de haut goût et de toute succulence, s'attacher à y déceler une réponse exemplairement homogène, à travers un ensemble de rites et de pratiques symboliques, au problème de la coexistence , c'est le cas de le dire, des vivants et des morts.
Si les morts heureux n'ont pas d'histoire, les morts malheureux, immanquablement font des histoires ! (15, préface)