Germinal d'Émile Zola

germinal go

je n'aurais jamais cru finir un jour ce livre que j'ai depuis maintenant quatre ans, l'auteur ne me plait pas particulièrement , l'histoire m'a beaucoup ennuyée jusqu'à la quatrième partie qui a enfin réussi à m'accrocher un tant soit peu.

Néanmoins germinal est une leçon de vie pour tous qui nous permet de nous remettre en question a chaque moment de notre vie .

Je ne l'ai donc pas apprécier plus que cela et j'ai été bien contente de le terminer je le recommande tout de même car c'est un livre a lire une fois dans sa vie

A bientôt

Prochain livre: Victime 55

Si vous ne connaissez pas la vie des mineur émerveillez vous dans le livre «germinal»:J'ai bien aimé ce livre, je trouve qu'il est bien construit.On se sens bien vraiment dans la peaux des personnages de l'époque surtout quand ils sont au camps près de l'entrer des mines. Ce livre nous fait bien comprendre la vie dans les mines ; dans les mines et nous fait bien comprendre les condition de vie. Toute fois je trouve qu'au bout d'un certain moment on commence a s'ennuyer et a s'en lasser de lire. Jusqu'à «la fête» qui redonne de la joie et nous donne envi de continuer a lire. Je trouve qu'il manque un peut un peut d'action c'est pour cela qu'au bout d'un certain moment je me suis ennuyer a lire ce livre Dans l'ensemble j'ai assez bien aimer. Toute fois je vous conseille de lire ce livre car c'est important de connaître les conditionne vis dans les mines .

Romain S 3B

Ce roman pourrait être qualifier de "roman de la classe ouvrière". Il s'inspire des grèves et mouvements de révolte dans les régions houillères, dont la grève d'Anzin en 1878. L'intrigue est fidèle au style naturaliste propre à cet auteur. La violence des grèves et la pénibilité des conditions de travail des ouvriers de l'époque sont décrites avec exactitude et précision (la faiblesse du salaire qui permet à peine de vivre, les accidents, et la violence finit par éclater, car ces personnes n'ont plus rien à perdre. Il pourrait être comparé à une photographie de cette époque où la classe ouvrière était dans une vie de misère et de survie, à l'image de l'Assommoir.
Lien : https://www.facebook.com/thi..

Dans l'Assommoir, on perdait de vue Etienne Lantier, le fils de Gervaise avec cette question lancinante : qu'a-t-il pu donc devenir?
C'est dans Germinal que la réponse nous est donnée. Etienne, après un long voyage, arrive à Montsou, terre minière, seul, à la recherche d'un emploi. Et du travail, ici, justement il y en a, et pas n'importe lequel, celui, dur des mineurs. Et hop, Etienne, au charbon!
Mais ce travail, il va le découvrir très tôt, est éreintant, si encore, il était bien rémunéré... Force est de constater que la vie dans les corons est loin d'être la panacée et c'est même pire, cela ressemble à s'y méprendre au bagne. Alors quand les responsables des sites miniers décident de diminuer les salaires c'est la révolte assurée.
Etienne et les mineurs avec lesquels il s'est lié parviendront-ils à lutter pour leurs droits et plus d'équité? Les mineurs sont-ils condamnés à travailler comme des forcenés de génération en génération pour permettre aux plus riches de s'engraisser?
Emile Zola dresse ici un roman noir qui peint la misère sociale dans toute sa crudité.
Un chef d'oeuvre de la littérature à lire et relire sans se lasser.

Un roman puissant, si prenant qu'il fait rire pleurer, on vit à chaque passage. Que ce soit la compassion pour les mineurs ou le mépris pour les bourgeois. Il naîtra en vous un sentiment de révolte avec Germinal. Chaque personnage a son caractère, chaque mineur vous touche à sa façon. Les cris et les sanglots désespérés, sur pourtant un fond d'espoir, vous ferons ressentir rage, peur, pitié, et haine à la fois.

Une fresque splendide sur les conditions de vie des mineurs au XIXème siècle. Tout est parfaitement documenté et retranscrit. Zola parvient à nous faire entrer dans cet univers si sombre et touchant à la fois, en n'omettant aucune souffrance, ni celle des hommes vieillis prématurément par la rudesse du labeur, ni celle des femmes battues par leurs maris ivrognes, ni celle des enfants méprisés et qui s'élèvent comme ils peuvent car considérés comme de simples bouches à nourrir, ni celle des animaux, des chevaux surtout qui meurent au fond de la mine sans jamais revoir le soleil. Tous les éléments romanesques convergent vers cette fin tragique, voire même biblique, évoquant le Déluge primitif qui rasa les hommes de la Terre tant ils étaient mauvais. D'ailleurs, le nom du machineur russe Souvarine, avec ses présages mystérieux et ses airs de mystique, est justement l'anagramme du mot "Souverain" ...