Citations sur La tour sombre (Comics), tome 1 : Le jeune pistolero (18)
- Souviens-toi, Roland, de maîtriser tes émotions. Ne fais pas l'erreur d'avoir ton coeur trop près de ta main, tu les trahissais tous les deux, tu intuites?
La quête d'un homme a commencé par l'épreuve d'un enfant.
L'ANCETRE : […] Sais-tu pourquoi tu es venue ici ?
SUSAN : Pour faire plaisir au maire Thorin. Sa femme est stérile depuis quelle n'a plus ses règles. Il veut avoir un fils avant que lui aussi ne puisse...
L'ANCETRE : Fi, fi, épargne-moi ces âneries. Il veut des tétons et un cul qui tremblent pas comme de la gelée... Et une boîte qui lui agrippe bien ce qu'il y fourra.
Les faucons sont plus que de simples créatures. De simples oiseaux. Ce sont des exemples pour les apprentis guerriers. Ils chassent avec efficacité et détachement. Leur instinct de tueurs est inné. Les élèves n'ont pas cette chance.
Rien ne ravive les souvenirs mieux que les odeurs.
Le sentez-vous dans l'air ? Ce crépitement, ce sentiment d'urgence qui vous semble vaguement familier ? Il accompagne toujours le coup de foudre entre deux âmes sœurs. Et elles sont bien comme la foudre... brillantes, aveuglantes, et éphémère.
Un homme aux vêtements d'ébène courant à travers un désert blanc, sec et aveuglant.
- Et je jure de ne jamais oublier ton visage.
- J'espère bien, sans quoi ma botte dans ton derrière irait débloquer ta mémoire.
CORT : Les imbéciles sont les seuls sur terre à pouvoir absolument compter récolter ce qu'ils méritent.
La guerre est un jeu. Seuls les enjeux la sépare des jeux de cartes, plus innocents. C'est un jeu à plusieurs facettes. Que la partie commence, donc, à la maison du maire Thorin, au cours d'un dîner très convenu, mais dont on parlera certainement dans tout Hambry. Voici les joueurs : Roland, Cuthbert et Alain... A moins qu'ils ne soient que les pièces. Parfois, il est difficile de dire qui manipule qui.
[Chapitre 3]