C'est un type qui revient de la pêche, il voit une fille, il lui fait : "J'm'en reviens de la pêche aux moules et j'suis moulu." Alors elle, : "ma foi, tant qu'c'est pas de la pêche aux coques."
Il n'y a aucune raison de désespérer. Il m'arrivera encore, poursuivant cette histoire et l'acheminant vers son terme dur, terrible, amer, d'employer souvent ces mots : il n'y a aucune raison de désespérer. Car l'homme dont je relate ici l'histoire n'est certes pas un homme ordinaire, mais un homme ordinaire il l'est néanmoins en ceci que nous le comprenpns parfaitement et que nous nous disons parfois : nous aurions pu faire pas à pas la même chose et nous aurions vécu la même chose.
Y en a un une fois, il a mangé un sandwich au salami, et quand celui ci était dans l'estomac, il s'est ravisé et il est remonté encore une fois dans la gorge et il a lancé : y avait pas de moutarde ! Et alors seulement il a descendu vraiment.
Voyez vous, quand le père il est ine petite plante, il voudrait que le fils il soit in'arbre. Quand le père il est ine pierre, que le fils soit ine montagne.
(Ne croyez pas que mes doigts se trompent en tapant ce texte, l'écriture correspond à la volonté du traducteur et de l'éditeur )
Cœur ardent ne connaît jamais le repos, cherche toujours l’élan nouveau .
Un cri gronde comme le tonnerre, comme cliquetis d’armes et flots de la mer .
Il s’agit de décider, il faut prendre un chemin et tu n’en connais aucun, Franz
Aussi je ne crierai plus comme avant : le destin, le destin. Pas la peine de le vénérer comme tel, il faut le regarder en face, l’empoigner et le détruire.
Je suis un homme libre ou rien.
je suis coupable, je ne suis pas un homme, je suis une bête, je suis un monstre.